Le temps

Ne perdons pas l’espoir

De voir le temps s’égrener

Le temps est intemporel

 

Chagrin d’amour

Quel bruit fait le coeur lorsqu’il se brise !

Une étoile

L’étoile d’un coeur

Brillera à l’infini

Pour l’éternité

 

Clown

Toi le clown rouge

Donne-nous le sourire

D’un baiser brûlant

Mon bateau

Mon bateau de jour en jour s’enlise dans les sables mouvants, il s’enfonce lentement mais invariablement chaque jour au fond pour rejoindre les abysses…..
Chaque jour avec les marées, il a des mouvements de soubresaut, mais il se sent attiré par le fond.
Rien ni personne au alentour que les goélands ou les mouettes qui viennent me tenir compagnie, et font de leur mieux pour me susurrer des mots d’encouragement, mais elles n’ont pas suffisamment de force pour m’aider à sortir de cet enlisement.
Que faire, les jours de pluies aggravent la situation et les jours d’ensoleillement se font rare.
Il voudrait bien renflouer ces coursives, mais le colmatage n’est pas évident.
Les essais sont balayés par une mer déchaînée qui accentue l’ouverture de la brèche vers le néant.Aidez-moi à trouver la solution pour réparer ces avaries et reprendre la mer au gré du vent…… l’écho de mon roulis vous parviendra-t-il ou pas…… 

Seul le souffle du vent me parle et me réconforte : 

« cherche tout autour de toi, regarde bien devant, va de l’avant, ne te retourne pas et ne te détourne pas. Aperçois-tu cette lueur qui vient de loin ! Entends-tu ce son qui résonne ! Écoutes bien, regardes bien, hisses tes voiles et laisses toi guider  en scrutant ton ciel et tu la verras cette étoile qui défie les nuages, écoute ton cœur « tant qu’il y a de l’espoir, il y aura de la vie » ». 

Un Ange

Sourire douceur

Chasse la mélancolie

Du temps qui passe

 

Coquillage

Beau coquillage

Accorde moi à l’oreille

Le son de sa voix

 

L’Automne

Soleil d’automne

Pénètre moi pour garder

Ton éclat l’hiver

 

Douceur

Jardin tranquille

Au doux parfum subtile

Embaume mes sens

 

TES YEUX

La beauté réside dans les yeux,
C’est la porte d’entrée d’un cœur,
La porte ou l’amour réside.
Mais c’est aussi par les larmes,
Que l’on voit passer la transparence d’un cœur,
Au plus profond des yeux.

Dans tes yeux,
Je vois beaucoup d’amour, de tendresse,
Ils ont un peu de bleu, qui est un océan d’amour en liesse,
Ils ont un peu de vert, qui est une prairie ensoleillée d’été,
Ils ont un peu de marron, qui est un tapis de larmes de feuilles d’automne,
Et au fond de ton regard un charme qui a conquis tout mon être,
Ces yeux là ne peuvent pas s’oublier,
Ils m’obsèdent et me regardent en permanence avec tant d’amour,
Que je voudrais les conserver pour l’éternité…