La gentillesse
La gentillesse ne serait-elle pas la clé du bonheur. Nous en avons tous besoin, nous la diffusons et nous la recevons de différentes manières, par la douceur des mots, la caresse d’un regard, l’indulgence vers autrui, l’attention aux autres, la chaleur d’un réconfort, la compréhension d’une situation, par la tendresse d’un geste… etc.
Malheureusement la plupart du temps « la gentillesse » est souvent incomprise et considérée comme étant « naïve, bête, fourbe, faible, malveillante, inutile, sournoise, intéressée… ».
Un fait de société où la compétition est de rigueur à tous les niveaux sociaux, où la discourtoisie est un mal quotidien, permanent, et l’amabilité n’aurait plus sa place, quel dommage.
La douceur et l’altruisme seraient-ils bannis de notre personnalité. Peut être bien car qui n’a jamais dit ou pensé ceci : « arrête d’être trop gentil, tu vas te faire marcher sur les pieds, on va profiter de toi, tu vas te faire avoir, la gentillesse ne rapporte rien, rien ne sert d’être aimable, affable ou serviable, tu vas passer pour un imbécile, un hypocrite…. » et enfin le comble « trop bon, trop con ».
Serions-nous devenus individualiste pour ne plus diffuser autour de nous de la gentillesse. Cette aptitude dans bien des cas permet de résoudre bien des maux. Une personne seule ou malade, si elle a le soutien d’une ou plusieurs personnes attentionnées à son égard, à moins de risque de tomber dans un état d’anxiété ou de déprime par la bonté et la générosité des uns et des autres.
Cette constatation vaut aussi dans le milieu professionnel. Des études ont démontré que la meilleure stratégie en matière de relationnel passe par la bienveillance pour une harmonie entre les différents interlocuteurs. Aujourd’hui par le biais des progrès technologiques on ne communique plus qu’avec des @, facilité ou paresse…..Les échanges ne sont plus physiques mais virtuels, nous arrivons à un cloisonnement en réduisant l’écoute et les échanges. Être attentif aux autres fait partie de la gentillesse, une certaine façon de traiter son égal avec prévenance et courtoisie.
La gentillesse est un acte généreux et surtout gratuit alors pourquoi ne pas l’intégrer plus souvent dans notre quotidien. La serviabilité fait partie de nos gênes alors mettons là au service des autres sans restriction et non pas avec parcimonie.
Les Amérindiens
Selon les hommes de science, l’arrivée par vagues successives de petits groupes de chasseurs nomades provenant des steppes de l’Asie, serait à l’origine du continent il y a environ 50 000 ans.
S’appuyant sur les résultats de fouilles archéologiques, on croit qu’une longue période de glaciation aurait permis la traversée du détroit de Béring. Ce dernier étant peu profond et la distance entre les 2 continents étant alors de 80 km, cette hypothèse est plausible. De plus, le lit du Détroit s’étant asséché, il offrait un large passage que les ancêtres des Amérindiens auraient même emprunté à pied sec.
Ces arrivants courageux, déterminés et persévérants se sont laissés guider par les animaux qui leur ont en quelque sorte montré la voie et dont ils se nourrissaient. Au cours des millénaires, ils se sont aventurés toujours plus loin, peuplant ainsi le territoire des Amériques.
Chaque peuple a adopté et perfectionné son mode de vie, évoluant selon une étroite dépendance face à l’environnement. Ces peuples ont pris racine à l’intérieur des terres en bordure des mers, sur les hauts plateaux, dans les vallées ou les plaines.
Parmi les nombreux peuples, ont peut citer les plus connus : Apache, Cherokee, Cheyenne, Comanche, Crow, Kiowa, Navajo, Sioux…..
Et bien d’autre : Abenaki, Bella Coola, Dene, Haida, Inuktitut, Chippewa, Creek, Seneca, Yaqui, Sauk, Salish……
Les Amérindiens ont peuplé différents continents, voici de nos jours le pourcentage par pays : (souce Wikipédia)
Argentine : 1.1 % - Belize 16.7 % – Bolivie 55 % – Brésil 0.4 % – Canada 2.4 % – Chili 5 % - Colombie 3.4 %
Costa Rica 1 % – Cuba 1 % – Dominique 2 % – République Dominicaine 1 % – Guatemala 40 % – Equateur 25 %
El Salvador 1 % – Guyane Française 3- 4 % – Guyana 9.1 % – Suriname 2 % – Honduras 7 % – Mexique 12 %
Nicaragua 5 % – Panama 6 % -Paraguay 5 % – Pérou 45 % – Puerto Rico 0.4 % – Sainte Lucie 3 %
Trinidad et Togago 0.6 % – Vénézuela 2 % – U. S. A. 0.74 % – 0.9 %
Paroles Amérindiennes :
« Regardez mes frères, le printemps est venu, la terre a reçu les baisers du soleil et nous verrons bientôt les fruits de cet amour. Chaque graine est éveillée, et de même, tout animal est en vie. C’est à ce pouvoir mystérieux que nous devons nous aussi notre existence. C’est pourquoi nous concédons à nos voisins, même nos voisins animaux, autant de droit qu’à nous d’habiter cette terre.
Cependant écoutez-moi mes frères, nous devons maintenant compter avec une autre race, petite et faible quand nos pères l’ont rencontrée pour la première fois, mais aujourd’hui, elle est devenue tyrannique. Fort étrangement, ils ont dans l’esprit la volonté de cultiver le sol, et l’amour de posséder est chez eux une maladie.
Ce peuple a fait des lois que les riches peuvent briser mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent. Ils revendiquent notre mère à tous, la terre, pour eux seuls et ils se barricadent contre leurs voisins. Ils défigurent la terre avec leurs constructions et leurs rebuts.
Cette nation est comme le torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage. » (Tatanka Yotanka - Sitting Bull, grand chef Sioux )
Philosophie de la vie
Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force. Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre. Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose sur toi même.
Voici le lien d’un site en anglais ou il y a des photos fabuleuses sur les amérindiens à découvrir absolument :
L’amour sans tabou dans l’antiquité.
Qui n’a pas lu qu’au temps des Romains et des grecs on leur prêtait des mœurs dépravées d’orgies, de luxure et de débauche quand il s’agissait « d’amour ». Mais en y réfléchissant bien la réalité historique est différente. Beaucoup de pratiques aujourd’hui choquantes étaient répandues, mais Athènes comme Rome avaient leurs interdits. Et notre 20ème siècle par les différents péplums ont vulgarisé l’image d’une Antiquité aux mœurs débridées et aux amours hétérosexuelles entre partenaires adultes, mais la réalité était bien différente….
Les historiens se sont penchés sur ces sociétés auxquelles nous devons tant aux vices et vertus. A quoi ressemblait la sensualité dans l’antiquité? Ils avaient beaucoup moins de tabous qu’à l’heure actuelle……
APHRODISIAQUE :
Rien de plus efficace pour réveiller un amant fatigué, oui mais avec quoi ! du «lézard », en particulier ceux de la famille du scinque. Faire une décoction avec «le museau et les pieds pris dans du vin blanc» ou avec la «chair des flancs», relevée avec de la myrrhe et du poivre.
RECOMMANDATION :
Sous la République romaine, le célèbre Caton l’Ancien, homme d’État pourtant réputé pour sa sévérité, lance à des mâles sortant d’un lupanar: «Bravo! Courage! C’est ici que les jeunes gens doivent descendre, plutôt que de pilonner les épouses des autres.»
CONTRACEPTION :
Le lavage après l’étreinte était le procédé le plus fréquent et recommandé aux femmes de l’époque après le coït, «se lever tout de suite, s’accroupir, provoquer un éternuement et se nettoyer soigneusement le vagin, ou encore boire de l’eau très froide».
L’ART D’AIMER :
Celui-ci a ses codes, souvent choquants à nos yeux et très éloignés des idées reçues, et ses interdits déroutants. Prenons un couple marié. L’épouse infidèle risque la mort. Son mari, en revanche, peut faire la bringue. Dans cette société qui ne connaît pas l’égalité, l’homme de condition libre domine outrageusement. Il peut avoir des relations avec ses propres esclaves, des prostituées, des femmes d’un rang social inférieur respectables et non mariées, avec lesquelles il peut entretenir une relation durable. Il vit parfois avec sa femme, sa concubine et les enfants des deux femmes. D’où de nombreuses querelles à la maison.
LES AVENTURES EXTRA CONJUGALES :
Sont tolérées pour les hommes, pourvu qu’il ne touche pas aux femmes mariées: ce serait porter offense à d’autres hommes. A Rome ou à Athènes, l’idéal du citoyen mâle est de se réserver les rôles «actifs» dans la relation sexuelle. «Il y a, d’un côté, ceux qui pénètrent; de l’autre, tous les autres, ceux qui ne possèdent pas le pouvoir, ceux qui sont pénétrés- les femmes, les garçons, les esclaves.
LES PRATIQUES SEXUELLES :
A Rome, on ne peut rien imaginer de pire que le cunnilingus. L’homme ne se plie pas aux désirs de l’autre, car ce serait contraire à son statut social : pratiquer une fellation à un partenaire relève aussi pour le mâle de condition libre du crime de lèse-virilité. C’est une obscénité sans nom! En revanche, en être le destinataire est valorisé. L’immoralité chez les Anciens naît de la transgression des rôles. Peu importe, en revanche, que le partenaire soit un homme ou une femme. A chacun ses goûts! L’empereur Claude n’aimait que les femmes. Le grand poète Virgile, que les hommes. Jules César appréciait les deux sexes indifféremment.
Les femmes avaient-elles les mêmes pratiques que les hommes ? Sur ce sujet, les documents manquent cruellement. Car la plupart des textes antiques sont des œuvres composées par des hommes de classes aisées…
PROSTITUTION :
Très fréquente, et totalement admise. Aucun homme ne se cachait pour aller dans les maisons closes, cette pratique est, en plus, peu onéreuse. A Rome, les professionnels, hommes ou femmes, se rencontrent dans les lieux publics: forum, portiques, théâtre, auberges et bien sûr lupanars – du mot «louve» (lupa), le surnom des prostituées. Les maisons closes sont encadrées par l’Etat au nom de… l’intérêt public. Le but ? Éviter que les jeunes gens ne se ruent sur les femmes mariées. C’est à Athènes que ce système s’est mis en place: protégées par les autorités, les maisons publiques versent en échange une redevance.
L’HOMO-SEXUALITE :
Dans sa forme contemporaine, l’homosexualité surprendrait nos aïeux. Aucun Ancien ne serait allé à la Gay Pride, ils se seraient bidonnés à l’idée que des personnes de même sexe revendiquent le mariage et l’adoption d’enfants. Ils auraient ri aux larmes, également, devant les films à l’eau de rose, ou les Arlequins et leur idéal du couple «hétérosexuel».
L’AGE :
Et que dire de nos interdits sur l’âge des partenaires… Les Athéniens des classes aisées les auraient balayés d’un revers de main, eux qui pratiquaient la pédérastie, cette relation pédagogique où un citoyen mûr initie, vraisemblablement sur le plan sexuel, un adolescent encore imberbe (l’adulte qui initie l’adolescent). Une coutume qui a fait couler beaucoup d’encre. Les Romains, eux, n’ont pas encensé les relations avec les jeunes, mais les ont tolérées avec les prostitués et les esclaves. Des «mignons» servent, par exemple, dans les banquets. Ils forment des troupeaux d’infortunés garçons qui attendent, une fois finis les repas, d’autres outrages dans le lit, disait Sénèque. «Rappelons le contexte de l’époque: on se mariait jeune et on mourait tôt». L’âge légal du mariage à Rome – 12 ans pour une fille, 14 ans pour un homme. L’espérance de vie – Environ 25 ans.
LE SEXE :
Le sexe n’avait pas qu’une fonction érotique, les « amulettes » en forme de phallus, avaient pour but de faire rire ou d’éloigner le mauvais sort. Plusieurs représentations ont été façonnées en métal ou en statuette de bronze. Le sexe n’était absolument pas tabou et faisait partie de la vie de tous les jours. Ces phallus loufoques, peints ou sculptés, se trouvaient aussi aux carrefours, dans les maisons, dans les champs. Omniprésentes, ces représentations ne choquaient pas. On trouvait aussi des phallus en terre cuite – des «ex-voto» – dans les temples. Ils servaient d’offrandes aux dieux pour obtenir un enfant, ou remercier une divinité après une guérison.
MARIAGE :
C’est d’abord un acte social, par lequel les époux unissent leurs patrimoines et assurent une descendance légitime. Bien évidemment et la plupart du temps à cette époque le choix des époux est en général décidé par les parents. On se marie tôt. Dès la puberté, pour les filles. Mais les divorces, qui s’effectuent sans formalité, sont monnaie courante. L’amour au sein du couple conjugal ne commence à devenir un idéal qu’à la fin de l’antiquité.
LES SENTIMENTS :
Par certains aspects, l’antiquité n’apparaît pas si éloignée de nous. L’expression de la passion n’a pas pris une ride, dans L’odyssée, il n’y a pas un sentiment d’Ulysse qu’on ne comprenne. La même fragilité transparaît chez les êtres ensorcelés par Eros, ou son avatar romain, Cupidon (Cupidon et Spyché). Les artistes dépeignent avec soin la sensibilité blessée, la passion impossible, comme celle qui enflamme le cœur du dieu de la Guerre, Mars, pour son opposé, Vénus, la divinité de l’Amour: «Sa nuque souple rejetée en arrière, les lèvres entrouvertes, il te regarde, déesse, et te regarde encore, écrit Lucrèce. Ses yeux ont soif d’une vision d’amour et, renversé, il suspend à tes lèvres, son souffle.» L’ardeur du sentiment désarçonne, Platon nous rapporte une scène où Socrate interroge Sophocle, déjà très âgé, en lui demandant où il en est de ses rapports avec les femmes: «Je suis enchanté d’être échappé de l’amour comme si j’étais échappé des mains d’un maître enragé et sauvage», répond le poète tragique. Multiplier les histoires rend esclave, car on perd le plus important : la maîtrise de soi-même. Dans le monde romain, «un homme à femmes ne passait pas pour un don Juan, mais pour un efféminé, un individu dominé par ses envies. Au même titre que la passivité, l’excès – amoureux ou sexuel, peu importe – est diabolisé. Un interdit de plus…
CONSEIL DES MÉDECINS :
Comment modérer ses ardeurs ! Durant toute l’Antiquité, philosophes, hommes politiques et écrivains s’interrogent sur la meilleure façon d’y parvenir. Des médecins grecs réfléchissent aux vertus de l’abstinence. Certains condamnent les relations hors mariage. Les penseurs théorisent la tempérance. Il ne s’agit pas encore d’une morale cohérente, imposée à tous… Mais, au fil des siècles, et notamment sous l’Empire romain, ces idées vont faire leur petit bonhomme de chemin.
LA MORALE :
Vers l’an 100, la morale officielle se rigidifie. L’infidélité du mari devient aussi grave que celle de sa femme. Sous l’empire, le stoïcisme, philosophie ascétique qui considère les passions comme des maladies et les plaisirs comme des leurres, redevient à la mode au sein de l’élite. L’antiquité tardive n’a donc pas attendu l’essor du christianisme pour se crisper. C’est tout l’inverse: obsédée par le souci de modérer les pulsions, condamnant les excès sensuels et sentimentaux, soucieuse de vertu, elle a créé un climat d’austérité morale qui a préparé le terrain à une relecture sévère du christianisme, entreprise par les Pères de l’Église à partir du IIIe siècle. Une vision qui va s’imposer durablement.
DE NOUVELLES RÈGLES :
Ces évêques vont faire une fixation sur les aspects sexuels de la doctrine. En allant loin dans l’interprétation des Evangiles. Car il est peu question de ces sujets dans le Nouveau Testament. L’Eglise promeut alors la virginité des fiancés et condamne la sexualité qui n’a pas pour but la procréation. En 394, à Rome, les prostitués mâles sont raflés sur ordre de l’empereur chrétien Théodose le Grand et brûlés en place publique.
UN PARADIS DU SEXE EN PERDITION :
L’antiquité demeure pourtant, dans l’esprit collectif, comme un paradis perdu de la sensualité. Pourquoi un tel contre sens? Parce que, depuis deux millénaires, ses personnages mythologiques, ses héros et ses tyrans hauts en couleur, ses fresques et ses textes osés offrent aux hommes, plus que toute autre période historique, un réservoir à fantasmes. Chaque époque y a projeté ses rêves d’amours sans répression et s’est façonné une imagerie sur mesure...
ÉPILOGUE :
Ainsi, après guerre, les péplums ont popularisé l’image d’une période décadente. Tout est faux, bien sûr, dans ces films tournés à la va-vite et sans un sou. Les femmes portent de vagues habits drapés. Les soldats, des boucliers fantaisistes. Et le scénario, simplissime, distille un peu d’érotisme sous un flot de bons sentiments: «Le héros de péplum est un valeureux officier bourré de qualités militaires. Il aime les femmes et les banquets. Mais il renonce à cette vie impure en rencontrant une jeune et belle chrétienne qui l’ouvre à la foi.» Comme le protagoniste de Quo Vadis?, qui préfère sa belle aux fêtes de Néron. Ou comme le Spartiate Maciste, personnage principal d’un mauvais péplum italien, comme il en pullulait au cours des années 1960 (Maciste et les cent gladiateurs) dans ce pays très catholique. Le gaillard à l’imposante musculature, sex-symbol à Rome, parvient à s’échapper de l’amphithéâtre où il devait être supplicié – n’est pas superhéros qui veut! Le fuyard rejoint sa bien-aimée, une jeune adepte du Christ réfugiée à la campagne. Le générique de fin apparaît alors que les deux amoureux filent, côte à côte, vers l’horizon. La pulsion bestiale de l’un au bras de la vertu de l’autre. Le désir enfin réconcilié avec la règle. Un happy end en carton-pâte.
L’amour en %
10 % des hommes n’ont qu’un seul rapport sexuel par mois.
26 % des hommes trouvent que les préliminaires c’est bien, mais qu’est ce que c’est court !
18 % des femmes n’ont pas peur de dire « non vraiment pas ce soir chéri ».
65 % des hommes sont catégoriques : la simulation eux jamais ! Les femmes ne sont que 43 %;
45 % des hommes qui n’ont pas pris leur pied…préfèrent se taire et roupiller ensuite !
20 % des femmes atteignent l’extase à chaque fois. Soit une sur cinq seulement.
34 % des femmes déclarent aimer le cunnilingus. C’est tout….Pourtant neuf hommes sur dix disent aimer çà.
19 % des hommes s’auto-proclament les rois de la cabriole. Avec eux c’est missionnaire+amazone+lotus….à chaque coup.
30 % des femmes préfèrent ne pas répondre aux questions sur leurs pratiques sexuelles. Pourtant des initiatives elles en prennent.
41 % des femmes pratiquent régulièrement la fellation. Parmi elles, 80 % aiment çà, et 93,5 % des hommes apprécient la fellation. C’est pour eux la plus belle des caresses tant sur le plan du plaisir que celui de la reconnaissance, elle leur permet de se sentir adoré et reconnu dans leur virilité. Alors que les femmes pratiquaient la fellation plus par amour et pour faire plaisir à l’autre, un nombre de plus en plus important d’entre elles, le font aujourd’hui parce qu’elles aiment ça.
44 % des femmes ont pris leur plaisir en main. Dites, ce n’est pas beaucoup ! Chez l’homme il y a moins de culpabilité à se masturber.
9 % des femmes ont déjà tenté la sodomie. Moins d’une femme sur dix, donc, l’idée de sodomie vient plus souvent aux hommes qu’aux femmes, car c’est pour eux une source de transgression, de possession et de plaisir plus grand. Chez la femme s’il peut bien sûr y avoir des blocages d’ordre moral, il y a sans contexte une peur de la douleur.
La douceur
La douceur, la qualité de ce qui est doux, l’odeur d’un parfum, le soyeux d’une peau, le son d’une voix mélodieuse, la brise d’un vent d’été, le regard d’un enfant, la saveur d’un fruit, …etc.
La douceur se décline par des qualités physiques et s’emploie au sens propre comme au sens figuré dans la plupart des circonstances, comme dégager de la douceur, exprimer un air de douceur, ou savoir prendre quelqu’un avec douceur.
La douceur n’a pas de limite et pas de modération. Elle est à la mesure de notre personnalité. La douceur flatte l’âme comme les substances flattent le goût.
La douceur nous la côtoyons de multiples façons tous les jours par nos sens :
- le goût : le goût du miel, du sucre, d’un aliment…
- le toucher : la peau douce d’un bébé, la chevelure, un tissu…
- la vision : d’un paysage tranquille, d’une œuvre d’art, d’un objet…..
- l’ouïe : une voix douce, le chant d’un oiseau, le bruit de l’eau…
- l’odorat : une pluie d’été, le parfum d’une fleur, du pain…
La douceur est une forme de non violence, ne dit-on pas que l’on obtient tout ce que l’on désire par de la douceur et non par de la violence. Pourquoi vouloir obtenir par la force ce que l’on obtenir par la douceur.
Mais il est vrai que la douceur des propos galants qui flattent un être ne sont pas toujours utilisés à bon escient, mais faits pour tâcher de lui plaire ou de s’en faire aimer. La douceur des mots devient alors un « conte » pour attirer les sens et attirer sa proie.
Nous trouvons cette douceur dans des écrits par le style de l’auteur, comme nous pouvons être séduit par la douceur d’un langage gestuel ou verbal.
La douceur peut se distribuer à l’infini et de plusieurs façons …alors qu’attendons-nous pour la diffuser…..
Le chocolat
Vive le chocolat !
Etes-vous de ceux qui craque pour le chocolat ! Votre préférence le chocolat blanc, noir ou au lait. Savez-vous que les Français en mangent plus de 7 kg par an ! Seriez-vous de cela !
Vous souvenez-vous de l’année à partir de laquelle « le beurre de cacao » n’a plus été la seule matière grasse autorisée pour fabriquer du chocolat, l’année 2003 et oui déjà cinq ans. Mais comment reconnaître du chocolat traditionnel à 100% beurre de cacao et du chocolat contenant des ajouts de substitutions.
Normalement la liste des ingrédients nous donne la composition exacte des ajouts de matières grasses végétales et la mention d’un label « Pur beurre de cacao » ou « chocolat traditionnel » devrait figurer sur les emballages ou les dépositaires de chocolat……Mais avons-nous le réflexe d’être vigilant pour y voir plus clair…..Pour ne pas être chocolat !
Le chocolat est : tonique, antidépresseur et stimulant.
Les substances chimiques qu’il contient dont les principaux sont la théobromine, la caféine, la phényléthylamine et la sérotonine qui agit sur notre système nerveux améliorant les performances musculaires et les réflexes, lutte contre le stress et les états dépressifs. Elles ont un rôle dynamisant et euphorisant. Le chocolat est aussi un anti « coup de pompe »…..Pourquoi dans ces conditions se priver de chocolat une devise : « en user mais ne pas en abuser ».
Le chocolat contient des : protéines, lipides, glucides, fibres, potassium, magnésium, calcium, phosphore, sodium, fer, cuivre, fluor, caféine. Vitamine A, B1, B2, B3, B12 et D.
Non, non, fausse idée le chocolat n’est pas un aliment hautement calorique.
Les lipides (matière grasse) contenus dans le beurre de cacao favorisent la baisse du taux de cholestérol chez l’homme.
Les glucides (le sucre) plus un chocolat est riche en cacao moins il contient de sucre. Un chocolat à 70 % de cacao malheureusement ne fait pas l’unanimité des consommateurs.
Le sodium (le sel) parfait pour un régime sans sel mais uniquement le chocolat noir (pour 100g de chocolat = 12 g de sodium) car le chocolat au lait à éviter absolument dans un régime sans sel (pour 100 gr de chocolat au lait = 100mg).
Et enfin et surtout le chocolat n’est il pas « un médicament de l’amour ».
Philippe BOUVARD nous rappelle ceci : « s’il fallait choisir entre sexe et chocolat, 34 % des femmes préféreraient mettre leur libido en berne plutôt que leurs papilles….. ». Vous en dites quoi vous !
Manger un carré de chocolat ne satisfait pas forcément nos envies, alors la plupart du temps nous succombons à deux voir trois et pourquoi pas la tablette en entière……Peu importe le nombre, cette jouissance gustative qui attise nos papilles par la douceur et l’onctuosité de son fondant en bouche est irremplaçable…..Culpabilité, non juste un moyen et un besoin de se faire plaisir puisque le chocolat est bénéfique pour l’organisme, alors pourquoi se refuser cette délectation et voir pour certains et certaines ils y trouvent un aphrodisiaque.
Le chocolat c’est onctueux, réconfortant, son arôme nous ouvre les portes de l’oubli, plus rien ne compte qu’en vous dégustez cette gourmandise, essayez les yeux fermés vous y trouverez « l’extase » d’un moment furtif inoubliable.
Le chocolat est connu depuis la nuit des temps, d’où ses pouvoirs « amoureux », l’empereur aztèque Moctezuma en buvait cinquante tasses par jour ! Vous avez bien lu et vous savez pourquoi ! Pour aller honorer « les femmes de son harem ». L’histoire ne nous dit pas combien d’enfant il a eu !
Mais encore, le chocolat intervient maintenant dans les produits de beauté. Le chocolat n’a pas encore fini de faire parler de lui pour encore des siècles et des siècles…….. Alors, après le bain au lait de chèvre pourquoi pas un bon bain au chocolat chaud…..
JUSTE UN CONSEIL « MANGER DU CHOCOLAT » QUE DU BENEFICE
Sexualité : les vraies différences hommes – femmes
Avant : plus la rencontre est intense, plus la sexualité de la femme pourra s’épanouir.
Pendant : beaucoup d’hommes ont du mal à dire des mots tendres, cela risque de faire retomber leur excitation.
Après : le temps de récupération va de cinq minutes à une nuit entière pour l’homme. Il n’excède pas trois minutes chez la femme.
1. La femme a besoin de sentiments pour faire l’amour, pas l’homme.
Cette situation est en train de changer pour les femmes. Les femmes d’aujourd’hui ont souvent une sexualité bien plus débridée lors d’aventure que dans la conjugalité où elles ont un plus grand souci de l’autre. Il ne s’agit pas réellement d’une sexualité hygiéniste : il y a toujours un investissement émotionnel, mais celui-ci ne concerne que l’instant.
Mais certains hommes continuent à dire : si une ma femme me faisait certaines choses, je trouverais cela gênant. Ceux-là ont évidemment des relations sexuelles beaucoup plus libres et épanouissantes hors du couple.
2. L’homme a besoin de faire l’amour très souvent, la femme peut s’en passer plus facilement.
Sur le plan neurophysiologique, un homme aurait quasiment besoin d’une éjaculation par jour pour le bon fonctionnement des testicules et de la prostate. La femme est moins anatomique, plus cérébrale. Avec la maturité, avec la perte des inhibitions et des tabous, les femmes ont de plus en plus besoin de faire l’amour. Mais tout de même, à toutes les époques de la vie, si une femme a trouvé une réponse amoureuse à sa demande, elle peut plus facilement se passer de relation sexuelle qu’un homme. Alors que, pour celui-ci, qui souvent parle peu, faire l’amour est la façon de dire « je t’aime ».
3. L’homme est excité par un détail, la femme par l’ensemble.
On le vérifie quand on sait que la plupart des fétichistes sont des hommes. Quand on demande à un homme ce qu’il aime chez une femme, il parle de ses seins ou de ses fesses, alors que la femme évoquera, pour l’homme, sa démarche, sa voix, un parfum. De façon générale, le désir de la femme, lui, est éveillé par l’intérêt qu’elle-même suscite chez l’homme, en quelque sorte, ce qui l’intéresse c’est de découvrir, grâce au regard posé sur elle, ce qu’elle représente comme objet de désir.
4. La femme a besoin de plus de préliminaire que l’homme.
Les préliminaires sont intéressants pour les deux partenaires car un dialogue s’instaure alors, qui intensifie et nourrit la relation. Quand certains hommes caressent uniquement le sexe de la femme en croyant lui faire plaisir car c’est ce qui leur plairait à eux, ils se trompent. La femme peut avoir alors l’impression d’être
Chosifiée. Mais si l’homme accepte de comprendre le sens que les préliminaires ont généralement pour la femme, il s’inscrit sur un terrain davantage relationnel et affectif, et la façon dont il fait l’amour reflète alors sa manière d’être avec l’autre. Il ne s’agit pas l’apprendre un mode d’emploi mais d’ouvrir un champ nouveau dans son rapport au monde. Cela demande à l’homme un véritable travail alors qu’une femme y accède plus facilement, plus naturellement.
5. L’homme n’aime que les caresses sur le sexe, la femme les aime toutes.
C’est vrai et faux. C’est vrai si l’on prend l’homme occidental traditionnel, un peu machiste. Souvent, lorsque leur partenaire les caresses sur différentes parties du corps, cela agace les hommes. Des couples intègrent les messages dans leurs relations sexuelles, ce qui ouvre l’homme à un rapport très différent à son corps. La femme aime être caressée sur tout le corps car tout son corps est excitatoire, probablement parce qu’elle a conscience très tôt que c’est l’arme avec laquelle elle séduit.
6. Le corps entier de la femme est érogène, les zones érogènes de l’homme sont ses parties génitales.
On observe par exemple que le souffle du vent sur le corps est ressenti beaucoup plus voluptueusement par une femme que par un homme, donc qu’il existe probablement une sensibilité cutanée différente. On constate ainsi fréquemment que les hommes n’aiment pas être touchés, que leur sexualité est effectivement plutôt génitale. La répartition sanguine, au moment de l’excitation, ne se fait pas de façon identique pour l’homme et pour la femme. Chez celui-ci, l’afflux se concentre dans la zone génitale alors qu’il se répartit dans différentes parties du corps chez la femme.
7. Les hommes préfèrent les mots crus pendant l’acte, les femmes les mots tendres.
C’est très juste et hélas ! Parfois compliqué, parce que les femmes n’aiment pas tellement être traitées de « chienne » ou de « salope ». Mais les hommes ne le font pas contre la femme, ils le font pour déclencher leur excitation. Ils peuvent dire des mots tendres avant et après, mais pas pendant la montée orgasmique. Il y a des femmes qui acceptent d’entrer dans le jeu et d’apprendre à parler ce langage masculin parce qu’elles savent que c’est la manière de faire monter l’excitation de l’homme.
8. La femme a des orgasmes illimités, pas l’homme.
La femme a effectivement cette possibilité d’avoir plusieurs orgasmes avec un laps de temps entre deux qui n’excède guère trois minutes, cela représente 20 % des femmes. L’homme lui, a, après l’éjaculation une phase réfractaire durant laquelle il ne peut plus être excitable, aussi fou amoureux soit-il. Or si, physiologiquement, les femmes ont cette capacité, certaines seront comblées par un seul orgasme. Pour certains hommes leur temps de récupération est long, il peut aller de cinq minutes à une nuit entière. Or la sexualité montre que, d’une personne à l’autre, de nombreuses variations sont possibles sans que l’on soit jamais dans l’anormalité.
9. La femme a un orgasme dix fois supérieur à celui de l’homme.
C’est une idée reçue qui renvoie à une représentation de la femme inassouvissable et dévoratrice. Les hommes peuvent connaître des intensités de jouissance extrêmement fortes, et rien ne permet de dire que celles de la femme sont supérieures.
10. L’homme a toujours un orgasme quand il éjacule.
Non, il peut y avoir éjaculation sur verge molle, sans érection et sans plaisir orgasmique. Et certains hommes peuvent avoir des éjaculations avec érection mais sans plaisir. C’est-à-dire qu’il n’y a pas forcément orgasme lorsqu’il y a éjaculation. En revanche, lorsqu’il y a orgasme, il y a presque toujours éjaculation. En Occident, on continue à confondre orgasme et éjaculation, et les femmes sont encore souvent déstabilisées lorsque les hommes n’éjaculent pas. Elles se sentent coupables comme si elles n’étaient pas assez désirables. Alors qu’un homme peut connaître un magnifique orgasme sans éjaculer.
11. Les femmes n’éjaculent pas.
C’est vrai et faux puisque si elles n’éjaculent évidemment pas comme les hommes, il y a ce que l’on appelle « les femmes fontaines ». Ce sont des femmes qui ayant un orgasme, peuvent émettre jusqu’à un demi-litre de liquide. Il ne s’agit ni d’urine, ni de sperme, mais d’une sorte de ‘super’ lubrification. Mais aucune femme n’est fontaine à chaque fois, certaines le sont deux ou trois fois seulement au cours de leur vie. Si les femmes fontaines sont souvent très gênées, les hommes en revanche, sont à l’affût de ces femmes car ils prennent les traces sur les draps comme des preuves de leur virilité.
12. La femme a des fantasmes de viol, l’homme d’amour à trois.
C’est l’inverse ! En fait, ce sont davantage les hommes qui pensent que les femmes ont un fantasme de viol, pour de déculpabiliser de ce qu’ils fantasment, eux. Inconsciemment, un homme pense souvent qu’une femme aspire à être violée. Le viol est un fantasme le plus souvent masculin. En revanche l’un des fantasmes féminins les plus courants est un scénario à trois, elle et les deux hommes. Pour les hommes, ils ont effectivement souvent le fantasme de faire l’amour à trois, avec un autre homme auquel ils offriraient leur femme. C’est un fantasme à la fois de puissance et d’homosexualité détournée. Certains taraudent suffisamment leur femme pour que celle-ci accepte de passer du fantasme à la réalité ; cela détruit de nombreux couples, car voir jouir sa femme avec un autre homme n’est pas chose facile !
13. La femme peut avoir une activité sexuelle toute sa vie, pas l’homme.
Avec l’âge, l’érection de l’homme peut être plus longue à venir car il y a fatigue du terrain uro-génital. Mais cette idée est très répandue surtout parce que pendant très longtemps, la sexualité des gens âgés a été taboue. Donc les individus, arrivés à 65-70 ans, ressentaient une lassitude. C’est moins vrai aujourd’hui. Quand aux femmes, une majorité ont ressenti leur premier orgasme après 60 ans comme s’il leur avait fallu attendre d’être ménopausées, de ne plus pouvoir être mère, pour s’autoriser à prendre du plaisir… comme une femme légère ! A partit de 50 ans, les hommes peuvent avoir des maladies cardio-vasculaires, qui altèrent leur capacité érectile. Mais je crois que c’est surtout l’usure du couple qui fait qu’ils se lassent des relations sexuelles, parce que lorsque ces hommes partent avec des femmes bien plus jeunes qu’eux, ils s’en sortent très bien. Quant aux femmes, elles peuvent connaître des problèmes de lubrification, pour lesquels il existe des solutions. Par ailleurs, un certain nombre d’entres elles perdent tout désir de faire l’amour aux alentours de la soixantaine car elles sont dans la dévalorisation de l’image érotique d’elles mêmes ; le problème est donc psychologique et non pas physiologique.
14. L’homme se lasse plus vite de sa partenaire que la femme.
Maintenant les femmes ont la possibilité d’avoir différents partenaires, elles se lassent aussi rapidement que les hommes de relations sexuelles non satisfaisantes. En revanche, les jeunes couples amoureux, si la sexualité fonctionne bien entre eux, croient à la permanence du désir physique puisque la plupart s’engagent sur un contrat de fidélité. L’homme pense donc alors qu’une seule femme pourra le satisfaire et l’accompagner tout au long de sa vie. Cela dépend du monde sur lequel s’est faite la rencontre. Si, pour l’homme, elle est dès le début vide de critères autres que sexuels, effectivement, une fois l’objet consommé, il peut se lasser très vite. Mais si l’homme s’investit affectivement dans la relation, il ne se lassera pas plus vite qu’une femme. Quand un véritable sentiment existe, homme et femme sont curieux de leur partenaire, de l’énigme qu’il représente, amoureux de son corps aussi. Faire l’amour devient alors une des façons de se parler, de nourrir le lien, de le sentir vivant, et il n’y a aucune raison que l’intérêt retombe.
15. L’homme est biologiquement plus polygame que la femme.
Nous sommes tous, hommes et femmes, de structure polygame, comme le démontre la psychanalyse, c’est-à-dire que nous éprouvons tous des désirs multiples. Même si nous aimons et désirons notre compagnon ou notre compagne, notre libido a besoin d’objets multiples. La différence se fait sur le passage, ou non, à l’acte. Culturellement, autrefois, les hommes en avaient le droit et pas les femmes. Aujourd’hui, les jeunes couples sont très demandeurs d’une fidélité totale. D’un côté, on peut dire que la fidélité oblige à accepter une part de frustration, parfois difficilement supportable, mais, d’un autre côté, la frustration est l’occasion de ne pas être dans la toute puissance, de ne pas penser que le monde est soumis à son propre désir. En fait, la fidélité se négocie à l’intérieur de chaque couple, et les contrats ne sont pas les mêmes selon l’histoire de chacun et l’âge des partenaires. Est-ce que, à l’origine, les hommes étaient plus polygames et que, en développant leur capacité d’attachement, ils se sont modifiés sexuellement ? Faire son «marché sexuel» sur Internet, on constate un décalage entre l’attitude de l’homme, qui cherche une pure aventure physique d’un jour, et celle de la femme, qui, souvent, propose une aventure sexuelle comme prétexte en espérant qu’une relation se créera ensuite.
16. Plaisir, désir, on a l’impression que tout cela est mélangé.
Le désir est un élan et le plaisir est la capacité de transformer cet élan en créativité émotionnelle. Le désir est un moteur, une curiosité, une gourmandise. Le plaisir, c’est la capacité à métamorphoser cette curiosité en don de soir à l’autre et en émotion. Où le plaisir commence-t-il ? Dès le désir. Les hommes demandent aux femmes : « est-ce que c’était bon ? » Si la femme fait l’amour parce qu’elle en éprouve le désir, c’est déjà du plaisir ….. La seule vraie question pourrait être : « comment c’était bon ? » Ce qui fait le distinguo entre le plaisir, la jouissance et l’orgasme, c’est notre capacité de renoncement au contrôle. Le plaisir, c’est un accueil de l’autre et de sensations qui peuvent rester dans l’intellectualisation. La jouissance, c’est faire quelque chose de ce plaisir. L’orgasme, c’est un lâcher prise, un renoncement total au contrôle. Jouir de, c’est profiter de, accepter, ce qui se passe : le rire, les larmes, le mutisme, les cris……
17. Comment parvient-on à vraiment lâcher prise ?
Pour jouir, il faut s’aimer soi même. C’est pourquoi il n’est pas rare que les femmes découvrent un véritable épanouissement sexuel après 35 ans. Parce que, à cet âge là, elles se sont prouvé ce qu’elle avaient à se prouver : elles ont rompu avec leurs parents, elles ont réussi professionnellement, nombre
d’entre elles ont eu des enfants…. Comme elles ne cherchent plus à être irréprochables, ambitieuses, tendues vers leur but, bref sous contrôle constant, la rencontre sexuelle est différente. Juste parce qu’elles s’autorisent la douceur qu’elles se font un peu plus confiance, ces femmes peuvent entendre le désir de l’homme comme une preuve d’amour. Lorsqu’elles vivent le désir de l’homme comme une violence, une intrusion, leurs corps dit « non » et se refuse à la jouissance.
18. De quoi a donc peur le corps féminin qui refuse la jouissance ?
Aller vers le désir, c’est aller vers quelque chose de sauvage, d’animal. Accepter le plaisir, c’est oser sa violence. Derrière cette inquiétude se cache le fantasme inconscient d’être castratrice, ce fantasme, qui veut nous faire croire que le désir et le plaisir de la femme sont si grands qu’ils pourraient engloutir l’homme. L’orgasme c’est perdre le contrôle, mourir au contrôle de soi. Or, le contrôle, ne permet pas de jouir.
19. Pour s’autoriser la jouissance, quelles sont les ruptures à accomplir ?
On n’est jamais seul au lit ; On emmène avec soi papa et maman notamment. Quelle image de la féminité de la sexualité maman m’a-t-elle transmise ? Quel regard papa a-t-il posé sur moi lorsque je suis devenue femme ? C’est en me détachant de ce regard-là, en renonçant à ce modèle, que je pourrai m’autoriser à jouir/ Le désir sexuel est celui qui, le plus sûrement, nous pousse hors de l’amour parental. On ne s’autorise le désir de rompre avec les grandes protections de l’enfance et de l’adolescence. Car désire, c’est être actif. Et jouir ; c’est accepté de l’être.
20. Comment l’amour se construit
Le désir profond de certaines femmes, ce n’est pas tant l’orgasme qu’être aimée. Beaucoup ne font pas l’amour pour céder à une pulsion intérieure mais pour qu’on les aime. L’orgasme, même simulé, est la récompense qu’elles offrent à l’homme pour le remercier de son désir et pour se prouver qu’elles sont des femmes méritantes. Comment voulez-vous que leur corps suive alors qu’elles ne sont pas en accord avec lui ? D’ailleurs les femmes les perturbent également. Ils se donnent pour mission de faire jouir la femme. Faire l’amour devient alors un combat, un bras de fer. L’amour dépend de cette sérénité-là, et la sexualité y trouve justement toute sa latitude. Car une sexualité heureuse demande du temps, de la communication, elle se construit.
En conclusion : aimer et faire l’amour sont deux choses différentes qui ne vont pas forcément de paire pour un homme, mais constatation valable aussi pour une femme.
Un homme peut aimer une femme, et vice et versa, et faire l’amour avec d’autre partenaire, sans état d’âme, rien que pour le plaisir du sexe. Nous pouvons aussi aimer une personne sans jamais y toucher (d’un amour platonique), et cumuler des rapports sexuels avec des personnes que nous n’aimerons jamais.
Etrange mais triste réalité de la vie de constater qu’aimer peut faire si mal, alors qu’un rapport charnel ne peut faire que du bien…..
Bienfait de l’amour
Saviez-vous qu’on peut déterminer si une personne est sexuellement active ou « non » par l’aspect de sa peau.
1 – Le sexe est un traitement de beauté. Des tests scientifiques ont montrés qu’une femme qui a des relations sexuelles produit de grandes quantités d’estrogène ce qui rend les cheveux brillants et doux.
2 – Faire l’amour de façon douce et relâché réduit les possibilités de souffrir de dermatites et d’acné. La sueur produite nettoie les pores et fait briller la peau.
3 – Faire l’amour permet de brûler toutes les calories accumulées.
4 – Le sexe est un des sports les plus sûr. Ca fortifie et tonifie tous les muscles du corps. C’est plus agréable que de faire 20 longueurs de piscine.
5 – Le sexe est une cure instantanée pour la dépression. Ca libère des endorphines dans le flux sanguins, créant ainsi un état d’euphorie et nous laisse avec un sentiment de bien-être.
6 – Plus on fait l’amour, plus on a de capacité à en faire plus. Un corps actif sexuellement dégage une plus grande quantité de phéromones, ce subtil arôme existe le sexe opposé.
7 – Le sexe est le tranquillisant le plus sûr du monde. Il est 10 fois plus efficace que le valium.
8 – Embrasser tous les jours peut écarter le dentiste. Les baisers aident la salive à nettoyer les dents et à diminuer la quantité d’acide qui cause l’affaiblissement de l’émail.
9 – Le sexe soulage les douleurs de tête. Chaque fois que l’on fait l’amour on soulage la tension des veines du cerveau.
10 – Faire beaucoup l’amour peut guérir d’une congestion nasale. Le sexe est un antihistaminique naturel. Il aide à combattre l’asthme et les allergies du printemps.
La tendresse
La tendresse peut se concrétiser par le langage gestuel et verbal pour manifester son attachement mais aussi pour monter son affection, son adoration, son amitié et surtout son amour. La tendresse se diffuse et donne sans restriction sur un enfant, un être, un animal, elle est amicale ou se transforme pour devenir amoureuse.
La tendresse s’est aussi de la douceur par un regard attendrissant, un geste affectueux, un baiser câlin, elle procure une satisfaction, et elle éveille un sentiment de prévenance dans l’action de l’accomplissement de l’ensemble de ces actions sur un être.
Et pourtant la tendresse n’a pas toujours été de mise au cours de l’évolution humaine. De nos jours l’envie de « tendresse » s’apparente à un besoin réel. Le mot « tendresse » vient de « tendre » et l’on peut attendrir un cœur de pierre en cœur de chair, et dans ce cas celui-ci devient vulnérable.
Éprouver de la tendresse pour quelqu’un peut se transformer en « amour ». L’être aimé prend forme en corps et en chair, et devenir fragile. Cette intimité peut se révéler au cours du temps et laisser place à un désir charnel sans équivoque, l’autre devient chair et cher (e) en même temps.
La tendresse gestuelle à une toute autre dimension par rapport à la parole. Au-delà des mots, l’émotion est à mi-chemin entre sensation et sentiment, et là peut importe ce qui est dit ou fait, la présence de l’autre devient nécessaire tous les jours.
A contrario, la quête de « tendresse » est apparentée aussi à une quête de « soi ». Une quête de reconnaissance, une confirmation de sa valeur et un sentiment de sécurité affective. C’est un désir bien légitime pour l’être humain mais si ce désir devient excessif il peut aussi révéler un certain malaise affectif ou un manque d’immaturité.
(Extrait de l’article paru dans la Revue Alliance N° 91 : La tendresse Docteur en théologie. Directeur de l’institut des Sciences de la Famille de Lyon.)
Différente de l’amour et du désir, se rapprochant de l’affection, la tendresse est une qualité de l’attention qui s’offre, se propose, sans jamais contraindre, qui peut donc se mettre en réserve, en attente, sans se refermer, sans se bloquer à jamais. La tendresse se vit, s’éprouve, permet de recevoir et de donner. C’est une sensation fragile, une émotion imprévisible, quelque chose de secret et fugace faisant participer l’ensemble des sens. Elle transparaît par les gestes, le toucher, la douceur, la délicatesse, l’attention, le regard, la voix, le respect. La tendresse permet de créer une relation d’affection. Joliment dit…..
« Les philosophes, les psychiatres et des psychothérapeutes proclament haut et fort le besoin urgent d’introduire davantage de « tendresse » dans les relations entre les gens ».
Je les approuve, la tendresse peut se manifester par tellement d’action concrète et qui ne coûte pas cher, rien qu’un sourire peut illuminer un regard, alors pourquoi s’en priver.
La tendresse de « Daniel GUICHARD »
Un baiser
Chaque histoire d’amour commence par un baiser qui fait cogner le cœur et tourner la tête.
N’oublions, n’oubliez jamais à quel point c’est bon, un baiser…..Le baiser, c’est déjà du sexe, bien sûr, on sait à quel point le baiser est savoureux. Mais un baiser du « coin » des lèvres, »non », celui qui devint langoureux et pénétrant en intensité.
Car quand on est en couple, on a tendances à le délaisser voir à l’oublier.La recette d’un baiser : on pose sur les lèvres de sa ou son partenaire un baiser tendre qui dit « tu vas me manquer » ou un baiser de complicité, léger comme une plume au creux du cou mais pas assez long pour que naisse l’érotisme. Mais, quand on commence un vrai baiser, nos corps pressés nous poussent avec avidité à l’étape d’après. Pensez-y car que se passe-t-il si on accorde aubaiser plus de temps ? Tel un jeux, on presse nos lèvres, on mordille, on tourne nos langues, on arrête, le temps de plonger nos yeux dans ceux de l’autre, on reprend doucement…..L’un des préliminaires les plus érotiques, qui affole le cœur, fait grimper dopamine et testostérone, envoie à notre cerveau des petits chocs électriques et relance le désir. Sûr, la suite n’en est que meilleure…..
Un conseil, laisser monter le désir, avant même le baiser, c’est se mettre en appétit.
Le baiser n’est-il pas une danse : lèvres humides, élastiques, voluptueuses, désirables et tentantes, c’est toute une séquence, parfois lente, parfois passionnée, avec des pauses et des changements de rythme. Mais le baiser est un jeux qui pimente et donne des idées, comme un baiser volé aux regards des autres, dans un recoin, au fond du jardin, dans un ascenseur…..
Jouer en faisant glisser d’une bouche à une autre une friandise, un fruit…..n’ayez pas honte, qui n’a pas joué à ces jeux taquins, malicieux mais si sexy.Et puis on embrasse pas seulement avec les lèvres, mais aussi avec les yeux, le nez, les mains….Miam….
Ouvrir les yeux de temps en temps pour regarder à l’insu de son partenaire, voir sa peau et ses yeux fermés, c’est une façon de l’observer par surprise. Fermer les yeux nous emporte ailleurs, au-delà du temps de la réalité, de l’espace, nous sommes emportés dans un tourbillon de sensualité. Généralement pendant un baiser on inspire en s’imprégnant de son odeur, sa peau fait partie intégrante des baisers. Chacun a un parfum de la peau qui nous enivre et nous retient par un baiser. Et puis quand fermement une main passe dans nos cheveux, nous décoiffe, nous enveloppe, nous maintient…..hum…le baiser devient sauvage, pressant, captivant et mets en éveil tous nos sens « en dessus dessous ».
Pour finir il ne vous reste plus qu’à mettre en pratique en glissant vos deux mains contre son cou, de cette façon elles viennent maintenir le visage de l’autre fermement et l’attirent vers des lèvres avides. Là, c’est un vrai baiser passionnel, voluptueux et d’amour.Un baiser est comparable à une gourmandise, on le déguste en douceur, avec tendresse, avec sensualité, avec délicatesse, avec envie mais surtout on le partage avec amour.