La vie d’un blog et celle d’un bloggeur
Mode, tendance ou besoin ! Quelles sont nos motivations premières pour ouvrir « notre blog » et pourquoi ?
Elles sont certainement variées et nombreuses pour chaque bloggeur :
- l’envie d’écrire,
- l’envie de partager une passion, un hobby,
- l’envie de laisser libre cours à son imagination,
- l’envie de communiquer,
- l’envie de dialoguer,
- l’envie de donner ces idées,
- l’envie de raconter « son histoire »,
- l’envie d’exprimer une souffrance,
- l’envie de briser une solitude,
- l’envie d’avoir son jardin secret,
- l’envie de gagner de l’argent.
Quelque soit l’envie, il y a une volonté d’échanges, de contacts, de communications, de relations et de rencontres, par des textes, des photos, des images, personnelles, mais bien souvent aussi l’effet « plagia » existe.
Et puis il est tellement plus facile de s’exprimer face à son écran, et plus simple de laisser un commentaire que d’aborder une personne de face, l’écran nous protège et nous rassure en quelque sorte.
Mais peut être aussi :
- par curiosité,
- d’ordres professionnels,
- pour se faire connaître,
- pour se faire un nom,
- pour s’exhiber.
Un bloggeur il espère quoi :
- interpeller par ces écrits, photos, images, dessins,
- captiver et augmenter les visiteurs,
- être reconnu, apprécié, compris,
- lire et répondre aux commentaires,
- avoir une liste bien fournie de contacts,
- voir son compteur de visites exploser,
- facilités les rencontres sur la blogosphère.
Quelque fois un seul blog ne lui suivit pas, il en cumule plusieurs dans l’espoir de faire un maximum d’audimat, ou cumuler des rencontres inopinées.
Gérer plusieurs blogs demande de la disponibilité et beaucoup de temps de libre. Le bloggeur ne flatte-t-il pas quelque part son « égo » ! C’est évident, mais cela lui permet d’exister.
Un bloggeur c’est qui :
- tout le monde, enfant, femme, homme,
- de tous âges – de toutes nationalités,
- pluralité de personnalités,
- étudiants, actifs, non-actifs, retraités,
- de tous les milieux sociaux,
- connu, reconnu ou anonyme.
Bien souvent il est anonyme et désire le rester sous un pseudo imaginaire ou calculé, avec pour attribut « un avatar» qui reflète si bien sa personnalité la plupart du temps, mais le contraire existe aussi . Tout est permis sur le design de son faciès et peut importe si les informations transmises sont vrais ou fausses personne n’ira contrôler « l’identité » du bloggeur.
L’existence d’un blog sur la blogosphère :
- 15 jours un mois, on découvre, on cherche, on zieute, on hésite,
- six mois, le temps d’un passage à vide,
- 1 an, on s’installe doucement,
- 2 ans, on y prend goût,
- 3 ans, question d’habitude,
- au delà, un besoin, du plaisir, briser le silence, par affinités avec les anciens,
- et les pauses plus ou moins longues en fonction des états d’âmes ou de vacances prolongées.
Au final très peu reste actifs sur une longue période. Beaucoup de bloggeurs ferment ou abandonnent définitivement leur « bébé », soit par ennuis, par lassitude, par manque de temps, par découragement, un changement de situation sociale, disputes, conflits ou agressions « virtuelles », rencontre ….etc.
Au final l’existence des bloggeurs n’est pas si facile que çà :
- pour inciter les visites il faut se renouveler tous les jours en publiant des articles,
- il ne faut surtout pas oublier d’aller rendre visite aux autres bloggeurs sous peine d’être reléguer rapidement au grenier,
- il faut éviter de faire des pauses trop longues,
- il faut avoir de l’imagination,
- on plaît, on plaît pas, on plaît plus, des affinités se créent ou se brisent ou se perdent.
Pour bien faire il faut du temps, de la passion, de l’envie, de la créativité, de l’investissement mais quel plaisir de voir ces articles lus, ces photos vus et le summum « les commentaires », tout cela réunis incitent à continuer pour son plaisir mais pour le vôtre.
Un blog c’est quoi au juste :
- un espace de liberté qui permet de souffler et d’apprendre des choses,
- on écrit vite, on est vite lu ou pas du tout, très vite commenté ou pas du tout et puis vite oublié,
- on parle de soi pour émouvoir, pour sensibiliser les autres, pour trouver un réconfort,
- partager ces connaissances et s’enrichir aux contacts d’amis (ies) fidèles de la blogosphère qu’on ne rencontrera probablement jamais ou si rarement,
- on y trouve des gens passionnants qui vous interpellent, vous bousculent, vous captivent, vous motivent, vous subjuguent, vous aiment, vous écoutent, vous épaulent et tout çà à distance,
- un endroit ou tous les complexes sont invisibles,
- le besoin d’avoir des commentaires sur une idée, une photo, une création, un dessin, un écrit ou quelque chose que l’on a réalisé est une motivation et un besoin pour continuer,
- l’on produit de l’information qui sera ensuite consommée ou reproduite,
- il ne ferme jamais ces portes il est ouvert à tous 24 heurs sur 24,
- il est parfois un fardeau dont on est dépendant, il procure du plaisir mais engendre aussi des frustrations et parfois beaucoup de tristesse.
Un blog « est », « sera » ou « a été »… un moment de détente, de convivialité, une bouffée d’oxygène, de partage dans tous les domaines … en attendant il est temps pour moi de fermer mon blog pour aujourd’hui…….
Les 7 péchés capitaux
Résultat du sondage
1 – L’avarice 32 %
2 – L’orgueil 22 %
3 – L’envie 16 %
4 – La luxure 11 %
5 – La colère 10 %
6 – La paresse 7 %
7 – La gourmandise 2 %
L’avarice : Ne penser qu’à ses propres intérêts. Ne penser qu’à amasser des richesses. L’avarice peut aussi se manifester dans les actes, dans les mots. Economie de son temps. L’avare jouit d’accumuler de l’argent, un attachement excessif à l’argent, voir maladif.
L’orgueil : Sentiment, état de l’âme où naît une opinion trop avantageuse de soi-même. Défaut qui consiste a se croire supérieur aux autres. Etat de l’esprit qui pense qu’il fait mieux que tout le monde. Une estime excessive de sa propre valeur.
L’envie : Convoiter le bonheur, les avantages des autres. L’envieux n’éprouve aucun plaisir dans son défaut ! Quand il est en pleine crise d’envie, il ne se fait absolument aucun bien, il rumine, se ronge les sangs, grommelle, s’auto-déprécie, jalouse, et finalement, il se fait du mal à lui-même sans se faire aucun bien en compensation.
La luxure : Recherche des plaisirs sexuels. Rien à voir avec la notion de luxe à laquelle elle est classiquement attribuée. La luxure et le luxe ne sont pas du même monde. Ces notions ont été amalgamées bêtement. La luxure ne concerne que le fait de chercher les plaisirs de la chair. Les plaisirs charnels, de l’amour physique sont les seuls concernés. Celui qui aime la luxure profite des plaisirs du corps.
La colère : Prompte émotion agressive se manifestant par une forte expressivité gestuelle et verbale pouvant devenir incontrôlable. Si le sujet réel de la colère ne peut être abordé en face, des déplacements peuvent se produire, ayant pour cible des objets ou êtres, parfois sans défenses. Un emportement violent qui se traduit par de l’agressivité. Etre en colère pour quelque raison que se soit. Le coléreux est content de marquer son territoire, de savoir s’affirmer.
La paresse : Refuser la moindre action. Le fainéant est un oisif paresseux, la paresse est très facile à atteindre. Il s’agir de ne pas bouger ses fesses, de laisser littérallement les choses se faire. le paresseux se repose avec béatitude et se laisse aller à la rêverie.
La gourmandise : Ne résister à rein. Le gourmand savoure ce qu’il mange. Tentation trop forte des bonnes choses à s’en goinfrer sans modération. La gourmandise est une préférence passionnée, passionnante, irraisonnée et habituelle pour des mets qui flattent le goût. La gourmandise est ennemie des excès. L’église catholique considère la gourmandise comme le septième péché capital.
Sur ce PPS on peut constater que l’envie et la luxure ont été confondues.
Cliquez sur « mon diplôme » pour faire le test.
Qui sont les meilleurs amants au monde ?
Un sondage réalisé par le site britannique onePoll.com Pour cette étude, OnePoll.com a interrogé des femmes provenant de 20 pays afin de déterminer quelles nations étaient les plus mémorables sexuellement parlant pour établir le palmarès des meilleurs et des pires amants, selon leur nationalité. Les Français sont dans le top 5 de ce classement, mais les autres pays qui sont-ils !
Les Français vont devoir revoir leur copie en matière de séduction amoureuse ! Nos mâles français n’arrivent qu’à la quatrième position des meilleurs amants du monde, surpassés par les Italiens, les Brésiliens et les Espagnols…
Complètement recalés côté sexe, les allemands n’affichent pas non plus un bon score. Ils sont considérés comme les plus mauvais amants du monde selon les 15 000 femmes interrogées, qui ont jugé leur odeur trop déplaisante. Mais si les femmes sont sévères avec nos voisins germaniques, elles considèrent que les mauvais coups affluent de toute l’Europe, à commencer par les Anglais jugés trop paresseux, les Suédois trop rapides ou encore les Hollandais, beaucoup trop dominants…
Les Allemands ont donc été élus les pires amants du monde. Les raisons ? Les femmes évoquent un manque d’hygiène (corporelle, mais aussi des vêtements souvent douteux) tandis que les Anglais semblent faire preuve d’une grande paresse sous les draps. Ils laisseraient un peu trop les femmes prendre les choses en mains sans vraiment s’investir. Ah la réserve anglaise…
Les Suédois seraient, eux, un peu trop pressés à terminer les débats. Les Néerlandais seraient trop dominants tandis que les Américains manqueraient de délicatesse. Les Grecs seraient quant à eux trop « collants » alors que les Ecossais seraient les plus bruyants et les Gallois les plus égoïstes.
Comme on s’en doutait, ce sont les pays du sud qui se retrouvent en haut du classement des meilleurs amants. Cependant ce ne sont ni les Italiens (3e), ni les Français (4e) qui remportent la première place mais… les Espagnols suivis par les Brésiliens.
Le mythe du « latin lover » est en revanche vivace chez les sondées, puisqu’elles placent les Espagnols, les Brésiliens, les Italiens et les Français en tête du classement « des meilleurs amants ».
Par contre, aucune nouvelle des Belges… OnePoll explique : « Les résultats donnent un avis sur les qualités et les défauts des hommes du monde entier, les femmes sauront désormais sur qui elles risquent de tomber sous la couette. Les mauvais amants devront donc faire des efforts pour améliorer leur engagement afin que les demoiselles leur fassent les yeux doux.
Un porte-parole de l’organisme de sondage britannique OnePoll.com a déclaré au quotidien britannique The Daily Telegraph : »Ces résultats vont ouvrir les yeux de milliers d’hommes dans le monde, et les voyageuses pourront juger du potentiel de nouveaux amants en regardant ce classement. »
Les meilleurs amants seraient :
1. Les Espagnols
2. Les Brésiliens
3. Les Italiens
4. Les Français
5. Les Irlandais
6. Les Sud-Africains
7. Les Australiens
8. Les Néo-Zélandais
9. Les Danois
10. Les Canadiens
Les pires amants seraient :
1. Allemands (trop d’odeurs)
2. Anglais (trop paresseux)
3. Suédois (trop rapides)
4. Pays-Bas (trop dominants)
5. États-Unis (manque de délicatesse)
6. Grèce (trop collants)
7. Pays de Galles (trop égoïstes)
8. Écosse (trop bruyants)
9. Turquie (trop de sueur)
10. Russie (trop poilus)
La résistance contre les vaccins s’organise.
Aux U.S.A des médecins et des associations ont engagé une procédure judiciaire pour interdire les quatre vaccins actuellement homologués contre la grippe H1N1. Selon les plaignants, la FDA (Food and Drug Asministration) n’aurait pas testé les vaccins pour évaluer leur efficacité et leurs éventuels effets secondaires. Pourtant, la loi américaine oblige la FDA à publier les comptes-rendus d’essais cliniques et autres tests spécifiques pour toute homologation pharmaceutique. Selon les associations, il n’y aurait aucune preuve de l’efficacité de ces vaccins.
Faites l’amour, pour votre santé.
Pour notre santé, depuis plusieurs années, on nous dit mangez cinq fruits et légumes par jour, l’une des phrases favorites du ministère de la santé et des médecins. Et bien pourquoi ne pas imaginer un nouveau slogan publicitaire au moment de la pub à la télévision « Pour votre santé, faites l’amour au moins trois fois par semaine », un minimum mais rien n’empêche un maximum (sept fois par semaine et autant de fois qu’il vous plaira).
On savait qu’une sexualité épanouie rendait tout le monde « beau », on sait désormais qu’elle nous protège contre certaines maladies.
En quoi le sexe est-il bon pour la santé :
D’abord, au niveau psychologique, on se sent aimé (e), on se sent belle, beau, on se sent attirante, attirant, ce qui a forcément des répercussions sur notre bien-être. De plus, on connait depuis longtemps l’action bénéfique de l’acte sexuel sur la fonction cardiaque et les maladies cardio-vasculaires : les personnes qui font l’amour fréquemment présentent moins de risques d’hypertension. Par ailleurs, dès le début des années 1980, des études réalisées sur des hommes âgés de plus de 70 ans ont montré que faire l’amour régulièrement avait également une influence sur leur longévité : un taux de mortalité divisé par deux au bout de quatre ans, à raison de deux rapports sexuels par semaine ! Enfin, pour les femmes, une autre étude a montré que le risque de développer un cancer du sein ou de l’utérus était divisé par deux, probablement grâce à l’action de l’ocytocine.
Concrètement çà agit sur quoi :
Sur la plupart des organes et des muscles, mais aussi sur la peau. Plusieurs hormones sont sécrétées aux différents moments de l’amour :
- lors de l’élan sexuel (œstrogènes, ocytocine)
- pendant la phase d’excitation (œstrogènes, ocytocine, dopamine et adrénaline)
- et au moment de l’orgasme (œstrogènes, endorphine, ocytocine, DHEA, et testostérone)
Quel est le rôle de ces hormones :
- Les ostrogènes favorisent la synthèse du collagène, en particulier au niveau de la peau.
- L’ocytocine a une action dopante sur le système immunitaire et un rôle d’anti-stress. On peut notamment voir ses bénéfices sur la peau, les ongles et les cheveux.
- La dopamine a une action anti-dépressive et agit sur le stress oxyda-tif. Elle lutte contre les radicaux libres et leurs effets nocifs sur l’organisme.
- L’adrénaline agit sur la masse graisseuse.
- L’endorphine apaise et réduit l’anxiété.
- Quant à la testostérone et à la DHEA , se sont de véritables antidépresseurs qui agissent sur la vitalité, mais aussi sur la tonicité de la peau, car elles augmentent la production du sébum.
Les effets bénéfiques sur notre organisme dépendent-ils de notre âge :
Absolument pas, les bénéfices se remarquent à tout âge, d’où l’intérêt de ne pas s’arrêter quand on devient un peu âgée. Il faut bannir l’idée « ce n’est plus de mon âge ».
Y a-t-il un rythme à tenir pour noter leurs effets bénéfiques sur le corps :
Non pas du tout, le seul rythme à observer est celui de son envie, ne pas se freiner, ne pas se mettre la pression, et ne pas faire l’amour comme on ferait de l’exercice, juste pour garder la forme. Le meilleur ami de notre forme et de notre beauté est notre épanouissement, celui que l’on obtient en se lâchant un peu et, pourquoi pas, en étant amoureux.
Petit pourcentage :
Coucher sans aimer et bien 67 % des femmes affirment ne pas pouvoir avoir de rapports sexuels avec quelqu’un sans l’aimer, les hommes, eux, sont 45 % à affirmer qu’ils peuvent coucher sans « amour ».
Alors aimez-vous, aimons-nous aussi souvent que possible……sans oublier de se préserver.
Les vertus érotiques des parfums
Nous avons tous en tête des odeurs de l’enfance, d’adolescence, d’adulte qui sont restées gravées dans notre mémoire. L’odeur d’un mets, d’un endroit, de la terre, d’un lieu, de la peau, d’une fleur, d’un parfum, d’une eau de toilette…etc. Toutes ces odeurs ont un rôle sur notre comportement.
L’odeur est parmi les émotions les plus instinctives, et le parfum parmi les instruments de séduction les plus anciens. Comment une fragrance nous fait-elle chavirer ?
« L’odeur joue un rôle crucial dans la vie intime. Il y a des gens qui ont des problèmes dans leurs relations amoureuses parce qu’ils trouvent leur propre odeur répulsive. » Ainsi il n’y a pas d’odeurs neutres. Agréable, désagréable ou excitante, chacune nous plonge dans l’univers émotionnel. La faute au cerveau de l’olfaction. Encore nommé rhinencéphale, il fait partie du système limbique, qui est en fait le siège de nos émotions et du plaisir. Voisin de l’hypothalamus, le rhinencéphale est aussi le centre des pulsions fondamentales (instinct sexuel, agressivité, faim, soif…). C’est pourquoi toute odeur met immédiatement en branle les désirs correspondants.
La seule odeur de notre peau peut suffire à chambouler les sens de notre partenaire. Les parfums en subliment les arômes, notre sillage peut enflammer sa libido et susciter bien des fantasmes.
Porter un parfum normalement destiné au sexe opposé, garder le même pendant des années ou au contraire en changer chaque matin… Autant d’indices qui en disent long sur nous, d’une bouffée parfumée.
Un peu d’histoire : Le mot parfum vient de l’expression latine « par » qui signifie « à travers » et « fumus » qui signifie la « fumée ». Cela révèle l’origine de nos parfums contemporains : l’encens et les résines qu’on brûlait lors de cérémonies religieuses. Le parfum prend peu à peu une importance de plus en plus grande dans la vie des citoyens et devient instrument privilégié de la séduction. Aujourd’hui certaines femmes inconditionnelles vont jusqu’à dire qu’elles préfèrent être nues que sans parfum.
Le parfum au cours des siècles : Le parfum a des origines égyptiennes Il y a environ 3500 ans, une fresque du temple d’Hatchepsout, à Thèbes, représente ainsi un bateau égyptien voguant à la recherche de myrrhe et autres senteurs exotiques. Les parfums ont d’abord un rôle dans le domaine du sacré, comme offrande aux dieux mais aussi comme élément fondamental de l’embaumement. Mais, peu à peu, le parfum fait son entrée dans le monde profane, paré des vertus qui lui viennent de son utilisation sacrée : purification, thérapeutique, apaisement, envoûtement, séduction : Cléopâtre est une grande utilisatrice d’huiles parfumées, dont elle se sert pour séduire ses amants. Néfertiti use et abuse des huiles parfumées : santal, ambre, fleurs rares.
Au début du Moyen-âge, le parfum connaît un grand succès chez les Arabes grâce à la distillation, la culture des plantes et le musc par exemple. En France, la vague de christianisme fait régresser les parfums et les cosmétiques. En 1594, un édit règlemente le métier de parfumeurs. Le parfum est alors utilisé sous différentes formes : poudres, lotions, pommes d’ambre, pommes aromatiques. Les parfums sont réputés pour leurs vertus purificatrices, au contraire de la puanteur qui transporte les maladies. Les fumigations sont alors très utilisées, pour assainir et séduire avec la poudre d’Iris notamment.
Les eaux aromatiques font leur apparition : l’eau de rose, l’eau de menthe, l’eau de laurier, l’eau de fleur d’oranger. Au XIV siècle, c’est au tour des parfums composés, comme avec l’eau de Hongrie (fleur d’oranger, esprit de rose, extraits de menthe, de citron et de romarin). Puis sont créées les célèbres savonneries de Marseille, qui connaîtront un grand succès au XVII siècle.
Pendant la Renaissance, Catherine de Médicis lance véritablement la mode du parfum à Paris. Des progrès techniques importants sont faits. La ville de Grasse assoit sa renommée sur les gants de cuir parfumés, alors très en vogue, et développe une industrie et devient la » capitale mondiale du parfum « , et ce jusqu’à aujourd’hui.
La tendance des senteurs fortes et capiteuses se poursuit à la Cours. Puis vient, le retour de senteurs naturelles et champêtres … Mais surtout l`’eau de Cologne est née, née à la fin du XVII siècle. Napoléon, plus d’un siècle après, en utilise chaque jour une bouteille en frictions.
Le cristal de plomb en Angleterre permet la création de magnifiques flacons en cristal enserrés dans des montures en or, prenant place dans des caves à parfum.
Le XVIIIe siècle : La France domine alors le monde du parfum, à Grasse et à Paris où sont installés les plus grands parfumeurs, comme Jean-François Houbigant, qui parfume toutes les cours d’Europe. Le flacon et les accessoires ont déjà l’importance qu’ils ont aujourd’hui : nécessaires de beauté, boîte à mouche, pommanders, flacon émaillé peint, fioles en porcelaine de Sèvres, de Chelsea et de Meissen à partir de 1720. Cependant, le verre reste privilégié. Il faut noter qu’à l’époque, contenu et contenant son vendus séparément. La Révolution Française marque l’arrêt de cette débauche de parfums et ce jusqu’au Directoire, marqué par le retour à une frénésie de luxe.
Le XIXe siècle : Le parfum redevient au centre des préoccupations des dames sous l’Empire, l’impératrice Joséphine ayant lancé la mode des senteurs exotiques comme la vanille ou la cannelle, qui lui rappellent son enfance créole. Les grandes maisons de parfum apparaissent : L.T Piver en 1813, Guerlain « L’eau de Cologne impériale » en 1828, Molinard en 1849, Roger et Gallet en 1862, Coty en 1898. Le XIX voit le développement de l’hygiène, avec l’apparition du cabinet de toilette et de la salle de bain dans les maisons. Le savon commence à prendre une place importante en parfumerie.
Jusqu’à la fin du XIX° siècle, les parfumeurs ne créent que des parfums à note unique mais en 1889, Aimé Guerlain révolutionne la parfumerie avec » Jicky « , qui non seulement allie essences naturelles et produits de synthèse, mais surtout développe plusieurs notes grâce à des odeurs qui s’évaporent à différentes vitesses : la note de tête, la note de cœur, et la note de fond.
Le XXe siècle : Dans les années 30, on vit arriver des fragrances baptisées «cuir» avec des notes sèches rappelant l’odeur du cuir et des inflexions florales Scandale de Lanvin ou Cuir de Russie de Chanel .Après la guerre, l’Air du temps de Nina Ricci (1947) apporta une nouvelle dimension à la famille florale. Dans les années 50, la parfumerie française était à son apogée.
Le parfum, une séduction charnelle : Certains parfums peuvent nous faire basculer dans le domaine de l’érotisme grâce à la présence – discrète mais ambiguë – de notes animales, comme les muscs ou la civette. Ces odeurs, véritablement sexuelles, sont « socialisées » grâce à l’enrobage olfactif constitué des autres notes parfumées, fleuries ou fruitées. Elles ont longtemps joué un rôle de fixateur des odeurs sur la peau. « C’est comme s’il fallait, pour qu’un parfum persiste dans la durée, qu’il annonce d’emblée son caractère sexuel ».
Un parfum peut-il être aphrodisiaque ? Le parfum d’amour n’existe pas. Récapitulons : dans une relation amoureuse, les choses se déroulent en deux temps. C’est d’abord l’étape de la séduction, où s’opère un premier rapprochement des corps : on est alors autorisé à pénétrer dans la bulle de l’autre, dans son espace privé. C’est aussi sa zone de « parfumage », là où l’on capte vraiment les fragrances. Se pose alors la question, essentielle, du dégoût. Lorsque les odeurs de l’autre ne sont pas sources de dégoût mais au contraire de plaisir, le rapprochement peut se poursuivre. Lorsque la relation érotique s’installe, une autre chimie se met en place. A cet instant, on a soif de chair, de vie en face de soi… Le corps à corps oublie le parfum, l’excitation exige les odeurs du corps vrai et refuse les artifices venus d’ailleurs.
Tomber amoureux d’une senteur Un parfum peut nous bouleverser par sa fragrance, éveiller en nous des souvenirs enfouis, nous rappelant une personne, un endroit, ou tout simplement parce que l’on trouve beau, parce qu’il nous plaît esthétiquement, même s’il ne procure aucun souvenir de notre passé.
Classés X… La molécule miracle qui attiserait subitement les ardeurs de l’être cher n’est pas encore sur le marché. Pourtant, si l’on en croit les nez, certaines matières premières ont de réelles vertus affriolantes. Le problème est qu’elles ne sentent pas la rose ! En embuscade dans nos parfums : l’Indole, aux relents d’excréments ; la Pyridine, proche de l’odeur de sperme ; l’Aldron, et son odeur de transpiration… Bien sûr, on pense aussi à la réputation des phéromones, ces signaux odorants émis par les animaux à des fins de séduction et de reproduction, dont on a prouvé l’existence chez l’homme… mais pas tout à fait l’effet. Mais, en attendant que de vrais parfums aux phéromones fassent leurs preuves, misez sur les notes animales (musc, civette, castoréum, ambre gris) qui renforcent l’attirance sexuelle en rappelant l’odeur de la peau pendant l’amour. Sans oublier les épices, les résines et certains accords chyprés. Alors, n’hésitez pas à imiter ces séductrices du XIXe siècle qui se parfumaient les mains pour imprégner de leur odeur la peau et les vêtements de leur amant…
Pratiquer le libertinage olfactif Pour les hommes, la peau est sans conteste le meilleur aphrodisiaque. Brune, blonde ou rousse ne portent pas le même parfum de peau, il suffit de les entendre en parler ! Poivré, celui des brunes pique la curiosité. Les blondes évoquent le foin vanné dans la poussière de l’été. Quant aux rousses, elles dénotent un côté fauve, animal. Bien sûr, ses arômes naturels gagnent à être sublimés par le parfum. S’envelopper d’une aura sensuelle, comme un appel à l’amour peut générer bien des fantasmes. Pratiquer le libertinage olfactif ne s’improvise pas.
L’érotisme des orientaux Troublant, les Orientaux. Bien sûr. Ces parfums « à fourrure » comme on les appelle, aux notes dominantes douces et entêtantes, rappellent les senteurs d’Orient. Et avec eux mille promesses de volupté. « Vanille, épices, patchouli, benjoin, encens et myrrhe laissent un sillage capiteux ». Le porter peut faire de vous une personne désirant et désireuse à la fois d’exprimer une forte sensualité, et une invitation au voyage dans des contrées inédites. A condition bien sûr d’assumer la forte charge érotique dont il vous nimbe. Sa meilleure représentation est Shalimar, quintessence de la féminité. Le secret réside dans la façon dont on s’approprie la fragrance, révélant votre accord pour les joutes amoureuses…
L’odeur fauve des cuirs Un accord né au 19ème siècle, quand les soldats russes ciraient leurs bottes avec un ingrédient venant du bois de bouleau. « Ses notes presque âcres, évoque le cuir, la sueur, le bois brûlé, et aussi le tabac… ». Des accords puissants, où peuvent se mêler bouleau, cade et styrax fortement empreint de virilité. Porter cette essence plus « mâle » pour une femme peut se révéler fortement aphrodisiaque. « Pour les deux » l’amour est un jeu. Dans la provocation des sens, l’initiation olfactive peut devenir un prélude au plaisir. Un conseil n’hésitez pas à échanger vos fragrances.
Porter un parfum d’homme pour une femme, cela veut-il dire quelque chose ? Le parfum a-t-il un sexe ? Les parfums sont codés culturellement et il est vrai que l’on va associer d’emblée certaines senteurs à la féminité et d’autres à la virilité. Même si de telles associations sont loin d’être systématiques. Il existe tout de même des expériences soulignant l’attraction inconsciente que peut représenter un parfum féminin pour un homme, et vice versa… L’une d’elles a montré que, si l’on vaporisait des parfums masculin et féminin sur les fauteuils d’une salle d’attente, les hommes préféraient s’asseoir sur les sièges qui fleuraient bon le parfum de femme. Et réciproquement. Il faut néanmoins se méfier des clichés. De nombreux parfums échappent à toutes classifications, sauf dans les politiques des marques. Le choix d’un parfum a priori destiné à l’autre sexe n’indique ni une identité homosexuelle ni un désir d’identification au père ou à la mère. « C’est juste le signe d’une personnalité affirmée ».
Le mystère de Chypres Les Chyprés n’ont rien à voir avec l’île du même nom, mais plutôt avec des univers complexes rappelant les sous-bois en Automne, tout empreint de mystère. « Fondés principalement sur des accords de bergamote, et un cœur floral rose et jasmin, les Chyprés intriguent plus qu’ils n’envoûtent ». Moins lascif qu’un oriental, il invite à un érotisme piquant, suscitant la curiosité. Une fragrance charmante en quelque sorte qui pousse à l’innovation olfactive et érotique. Un sillage irrésistible en tout cas, comme celui d’Aromatic Elixir de Clinique, véritable arme fatale à sa sortie.
L’effet Lolita des notes gourmandes « Certaines odeurs attachées à la mémoire de l’enfance suscitent l’addiction au premier coup de nez». Couvrant illico d’une aura très Lolita que certaines affectionnent. Caramel, vanille, chocolat ou réglisse racontent un éveil au désir juvénile, une candeur qui peut en faire fondre plus d’un. Porter sur soi les multiples états qui nous submergent à l’aube d’un rituel intime, aux accents d’innocence est saisissant d’érotisme. Une fragrance qui semble dire que vous n’aimerait rien tant que le soumettre à votre caprice. Résolument gourmands ces parfums habillent le corps, convoquent le désir, et habitent la mémoire. Il n’est pas près de vous oublier.
Humer son partenaire Au-delà des sillages et de ses effets, le libertinage olfactif peut se concevoir comme un jeu érotique. « Pour une sexualité plus épanouie, il faut humer son partenaire », les sexologues le recommandent. Faites des inhalations somptueuses de l’odeur de votre partenaire, humer sa peau, le creux de son cou, la chaleur de ses mains, ses cheveux, comme vous le faites d’un bouquet de fleurs, ou d’un verre de vin. Inspirez, frissonnez, réinventez les préludes comme une forme de libertinage olfactif. Comme un retour aux sources de son animalité, à la puissance d’évocation du corps et de ses pulsions.
Changer de parfum ou lui être fidèle, cela a-t-il du sens ? Impossible d’oublier que nous sommes dans l’ère du zapping, éternellement sollicités par des nouveautés très attractives. Pourtant, même s’il ne faut pas donner aux choses plus d’importance qu’elles n’en ont, le fait de changer sans cesse de parfum peut indiquer que l’on ne s’est pas encore trouvé, que l’on est toujours à la recherche de son style personnel. Ces personnes n’ont pas compris que l’odeur participe de la définition de soi dans le monde, que ce n’est pas un jeu. Le parfum constitue la colonne vertébrale de la séduction.
En choisissant un parfum, on apprivoise une image. Quelle est son influence sur nos vies ? De nombreuses femmes se laissent séduire par l’image de féminité véhiculée par sa publicité, davantage même parfois que par son odeur. Il apparaît alors comme un miroir chargé de les refléter non telles qu’elles sont mais telles qu’elles rêvent d’être. Les parfumeurs ne s’y trompent pas et ont mis en place une classification destinée à définir leurs créations : femme-femme, sexy, mystérieuse, naturelle, tendre… « Le risque est de mettre des masques sur sa propre personnalité, de jouer un rôle, de se cacher derrière cet univers ». A contrario, prendre le temps d’apprivoiser une fragrance est important. Certaines ne nous correspondent pas, même si l’on est capable de les apprécier de manière esthétique. La véritable affirmation de soi se fait dans l’intimité et la discrétion, et non dans l’uniformisation de masse pratiquée par le marketing. Langage de l’immatériel, le parfum révèle ce que les mots laissent en suspens. Un état d’esprit, une émotion. « Il dit notre façon d’entrer en relation avec soi et les autres. Il met en jeu les émotions, les souvenirs conscients ou inconscients. C’est pourquoi notre relation au parfum oscille entre attraction et répulsion. » Un mouvement de balancier dû au fait que l’odorat est le seul de nos cinq sens qui ne soit pas relié au néocortex, la zone de notre cerveau siège du langage, du raisonnement et de la décision. Il est directement branché à notre cerveau limbique, siège des émotions. L’expression « je ne peux pas le sentir » traduit bien cette dimension affective instinctive. Notre attirance pour un parfum, notre répulsion pour un autre témoignent d’une recherche inconsciente de sécurité. Etroitement liées aux premiers instants de notre vie (le parfum de la peau de la mère, du père, des lieux de vie, du lait…), les odeurs balisent un territoire familier.
Dire ou cacher Objet transitionnel volatil, le parfum évoque bien sûr aussi la séduction. Son pouvoir érotique est immense. « Il y a rapprochement lorsque l’on retrouve quelque chose de son odeur dans celle de l’autre. Et rupture lorsque l’on s’en éloigne trop. Un couple qui s’entend bien est toujours uni par un lien olfactif. ». L’usage du parfum relève avant tout du désir « d’attirer l’autre sur notre peau ». Et le trouble est d’autant plus grand que le parfum vient réveiller fantasmes et émotions intimes. Mais comme tous les langages, celui des odeurs possède une complexité qui lui est propre. « Il est un message qui révèle notre personnalité, mais il sert aussi à dire nos manques, nos attentes, tout ce dont nous aimerions être parés ». Quelle femme ne se souvient pas avoir usé, à l’adolescence, de parfums capiteux pour masquer sa timidité et affirmer sa féminité naissante ? Les parfums évoquent des archétypes (lolita, femme fatale…) auxquels s’identifier. Ce qui explique que l’on y soit fidèle toute une vie ou qu’ils constituent une quête intime du Graal.
Alors êtes-vous fidèle, infidèle à un parfum, cherchez-vous à multiplier les fragrances pour séduire, par plaisir ou pour ensorceler ….En abuser autant qu’il nous plaira pour faire chavirer les sens, en érigeant ainsi autour de nous une bulle protectrice infaillible pour séduire son entourage.
A savoir, à retenir, à consulter :
Pour les compositions d’odeurs, on part sur trois classifications principales:
- Note de tête, est l’odeur qu’on perçoit en premier, c’est la plus intense mais la plus éphémère, c’est une note volatile. Elle est très fraîche. Elle va durer de l’instant immédiat ou l’on vaporise le parfum jusqu’à deux heures dans le temps.
Abricot – Anis Etoilé – Bergamote – Cardamome – Cassis – Citron – Coriandre – Cumin – Cyclamen – Cyprès – Estragon – Gardénia – Lotus – Mandarine – Menthe poivré – Menthe verte – Néroli – Noix de coco – Orange – Pamplemousse – Papaye Pêche – Petit grain – Piment – Pin/sapin – Poire – Pomme verte – Verveine
- Note de cœur (médiane), fournit le caractère solide à l’odeur. Elle est plus lente et plus voluptueuse, le plus souvent des notes florales. Elle est véritablement le cœur du parfum. C’est la signature olfactive. Elle va diffuser de 15 minutes jusqu’à 4 heures dans le temps.
Anis - Bois de Rose – Cannelle – Chèvrefeuille – Ciste -Clou de girofle – Fruit de la passion – Galbanum – Géranium – Gingembre – Iris – Jacinthe – Jasmin – Lavande – Lys – Magnolia -Mangue – Melaleuca – Mimosa – Muguet – Nénuphar Œillet – Pivoine – Réglisse – Romarin -Rose – Sauge Sclarée – Tubéreuse – Violette
- Note de base (de fond), ajoute la profondeur à l’odeur. Les notes de tête et de cœur s’appuient dessus et lui laissent la place lorsqu’elles disparaissent. C’est la note que l’on retrouve sur un foulard le lendemain. Elle est plus lourde et très tenace, le plus souvent épicée. Elle tient parfois plusieurs jours. C’est la note de fond qui fait durer le parfum dans le temps et c’est sur elle que vont s’appuyer les notes de tête et de cœur.
Amande - Ambre – Baume du Pérou – Benjoin – Bois de Cèdre – Bois de Santal – Bouleau – Café – Cannelle Caramel – Chocolat – Encens – Fève Tonka – Girofle – Mousse de Chêne – Muscade – Musc – Patchouli Poivre Noir – Racine d’iris – Santal – Vanille – Vétiver
Petites astuces :
-Les endroits privilégiés pour appliquer du parfum sont: derrière l’oreille, à l’intérieur des poignets, aux creux des coudes, derrière les genoux. Ces zones sont des points de pulsations, c’est là que la peau est la plus chaude, ce qui permet au parfum de mieux se diffuser. – Si vous aimez les senteurs très légères, préférez les extensions parfumées comme les gels-douche, déodorants, crèmes pour le corps, déodorants, talcs …
- Lors de la vaporisation de votre parfum, il faut avoir la main légère. Mieux vaut se faire une petite retouche dans la journée que d’en mettre trop.
- Ne pas porter deux parfums différents, comme un parfum dans le cou et un autre en déodorant. Le mélange des deux serait très déplaisant.
Comment choisir son parfum ?
En fonction des saisons : En été, c’est mieux de choisir des parfums doux et frais; en hivers, des fragrances plus sensuelles, à la senteur plus accentuée.
En fonctions des occasions : C’est selon les situations, nos sentiments, et notre état d’esprit qui ne sont pas toujours les mêmes. Le parfum choisi pour telle occasion, reflétera notre humeur du moment.
Suivant le type de peau : Ne pas choisir son parfum lorsqu’il est porté par une autre personne. Il est nécessaire d’essayer un parfum sur sa propre peau, car sa senteur varie d’une personne à l’autre et voir comment il évolue au fils des heures.
Extrait de parfum : c’est la composition la plus concentrée, la plus forte, la plus persistante et la plus chère. Eau de parfum : composition parfumée moins concentrée que l’extrait de parfum.
Eau de toilette : composition parfumée moins concentrée que l’eau de parfum. C’est une version plus légère du parfum.
Eau de Cologne : composition parfumée beaucoup plus légère que l’eau de parfum. Les eaux de Cologne pour hommes sont plus concentrées que les eaux de Cologne pour femmes.
Les extensions parfumées : lotions, crèmes pour le corps, gels-douche, déodorants, baumes après-rasage, talcs, … Ces extensions contiennent un très faible taux de concentré parfumant. Ils prolongent la senteur de votre parfum plus longtemps.
Classement des parfums :
- - les hespéridés :
Les huiles essentielles de tous les agrumes comme… Citron… Orange… Mandarine… Pamplemousse… Limette… Cédrat… Obtenues par expression du zest des fruits… elles entrent en composition avec les produits du Bigaradier ou Oranger Amer… comme le Néroli… Petit Grain… Eau de Brout… et l’Eau de Fleurs d’Oranger. C’est dans cette catégorie que nous trouvons… Eaux de Cologne et Eaux Fraîches.
- - les floraux :
Presque exclusivement féminins… les fleuris ou floraux forment la plus grande des familles. Des soliflores… aux bouquets floraux… en passant par les fleuris aldéhydés… les fleuris verts… boisés et océaniques. Ils déclinent tous… la Fleur… les Fleurs dans toutes leurs splendeurs. Les Soliflores Elaborés autour d’une seule fleur… Lavande… Oeillet… Muguet…
– les fougères :
Les Fougères… Un accord constitué par des notes hespéridées… lavandées… boisées et coumarine. Cette famille doit son nom à un parfum aujourd’hui disparu… » Fougère Royale » créé par Paul Parquet en 1882 pour Houbigant… qui fut le premier à utiliser la Coumarine.
- - les ambrés :
La famille des Ambrés doit son nom au parfum… » L’Ambre Antique » de François Coty créé en 1905 Ces parfums sont doux… poudrés… vanillés… balsamiques… résineux… animalisés. Les Ambrés Doux Sur les accords ambrés typique… une légère note héspéridée en tête.
- - les boisés :
Les parfums boisés sont principalement des masculins… construits avec les notes chaudes… Patchouli… Bois de Santal… celles plus sèches du Vetyver… du Bois de Cèdre… et les senteurs sylvestres du Pin.
- - les chyprés :
François Coty… ouvre l’une des plus belle famille mais aussi l’une des plus complexe… avec son » Chypre » en 1917. Les notes principales des chyprés sont plutôt sèches… et boisées. Mousse de Chêne… Ciste Labdanum… Patchouli… Castoréum… Bergamote. Les Chyprés Fruités avec des notes fruitées pour le coté gourmand.
– les cuirés :
Ses fragrances y sont peu nombreuses… difficiles à dompter… mais oh! combien généreuses une fois apprivoisées. Les notes cuirées sont rares à l’état naturel… Bouleau et Styrax. Elles sont âcres… puissantes… fumées… sensuelles.
Maintenant à vous de choisir la note de parfum qu’il vous convient
« pour séduire ».
Le bonheur
C’est quoi au juste ! Est-il abstrait ou réalité ! On le trouve comment !
Ce mot n’est-il pas la quête du « Graal » de toute une vie. Le bonheur est un des piliers de notre existence. Il est vital dans une vie. Nous aspirons tous un moment donné de trouver ce bien-être de plusieurs façons. Il est le but d’une vie pour soi même mais aussi pour son entourage.
Un pharaon Egyptien définissait le secret du bonheur sous forme d’une métaphore : marcher dans la nature à la rencontre de nos tendresses.
« De nombreux philosophes, intellectuels et chercheurs se sont prononcés sur la question du bonheur, et la seule conclusion sur laquelle tous s’entendent, c’est que le bonheur est une notion subjective et relative. Et c’est parce qu’elle est si subjective et relative que tant de discussions et de débats entourent l’hypothétique définition du bonheur et surtout, les différents moyens de l’atteindre. »
En lisant ceci difficile de dire si nous baignons actuellement dans le bonheur. Alors que faut-il faire pour le trouver et le garder. Les conseils en la matière sont nombreux :
- Etre plus actif et demeurer occupé
- Passer plus de temps à se socialiser
- Etre productif dans une activité significative
- S’organiser
- Arrêter de se tracasser
- Ajuster convenablement nos attentes et nos aspirations
- Développer une pensée positive et optimiste
- Etre orienté vers le présent
- Développer une relation positive avec soi-même
- Développer une personnalité engageante
- Etre soi-même
- Aller chercher de l’aide en cas de besoin
- Développer ces relations intimes
- Valoriser le bonheur
Le bonheur n’est-il pas une réalité quand il survient, il semble se moquer de l’âge, du sexe, du quotient intellectuel de l’apparence physique ou du niveau d’éducation, voire des revenus financiers. Il est observable, et les signes par lesquels il se manifeste vont bien au-delà de la simple contraction des muscles zygomatiques, qui tirent la bouche vers les oreilles quand on sourit. Ce bonheur est une réalité.
Le bonheur est nécessaire à notre survie – tout au moins son idée – nous serait-il indispensable ? Oui, toutes ces illusions sont là pour notre bien, car le bonheur est vital pour notre espèce, donc, également pour l’individu. « Les hommes veulent être heureux et le rester » disait Freud. Il est aussi une affaire de santé : quand on vit un moment heureux, la chimie du corps s’améliore, la tension et le rythme cardiaque diminuent. A conditions de vie égales, les gens heureux vivent plus longtemps, ont un meilleur système immunitaire et plus de chances de bien se remettre après une opération.
Le bonheur est secrété par notre cerveau. Environ 12 % de nos pensées quotidiennes sont des projections dans l’avenir, et la majorité d’entre elles sont positives.
Le bonheur mous motive, plus encore que la satisfaction qu’il apporte, sa première qualité est de nous stimuler. Si nous n’avions pas une vision du bonheur, que ferions-nous ? Il sert d’étalon de mesure à nos désirs, à nos projets et à nos actes, même les plus inconscients.
Le bonheur est victime aussi de notre imagination. Un exemple : nous pensons que vivre à la campagne va nous satisfaire parce que nous adorons la nature. Mais nous n’envisageons pas de quelle manière survivre aux hivers froids, aux coupures de téléphone, à l’absence de vie culturelle, à se retrouver seul. C’est aussi la raison pour laquelle nous prenons souvent des engagements que nous regrettons ensuite. Nous sommes enthousiasmés par l’objectif, mais plus l’échéance approche, plus nous réalisons ce que cela impliquera comme contraintes.
Le bonheur un paradoxe social, de nos jours celui-ci semble davantage tourné vers la réussite externe que vers l’interne qui concerne l’individu. La société nous impose une image de la réussite externe qu’un aveu de non-bonheur équivaut à celui d’avoir échoué sa vie. Ce qui explique ce paradoxe qui veut que la majorité des individus à tendance à s’estimer heureux ou très heureux, alors que la vie de tous les jours nous envoie de plus en plus de signes contraires. Je suis assez d’accord avec cette définition : « certains prétendent que les nombreux plaisirs de la société moderne, artificiels, sensationnels et éphémères, masquent la vraie recherche du bonheur, éloignent l’individu d’une spiritualité minimale mais essentielle et réduisent le bonheur à une notion simpliste matérialiste et quantifiable».
Le bonheur, une question d’aptitude et d’attitude, on l’obtient en accédant à un degré supérieur de réalisation de soi, d’un travail sur soi même. Le bonheur peut prendre sa source dans une foule de petits gestes quotidiens. Les gens heureux se caractérisent par leur estime d’eux-mêmes, leur croyance au contrôle sur leur vie, leur optimisme, leur foi religieuse et leur engagement. La richesse est comme la santé, son absence engendre la misère sa possession ne garantit pas le bonheur. Mais point de bonheur possible quand les besoins primaires de subsistance ne sont pas comblés. Mais il tient à peu de choses puisque tout le monde le possède et peu le développer en soi, faut-il encore le vouloir.
Le bonheur c’est aussi :
- Le bien être du corps et de l’esprit
- Il est euphorisant
- Il nous procure de la joie
- Il nous conforte et réconforte
- Il nous apaise
- Il nous enivre …etc.
Aujourd’hui je vous offre la clé du bonheur, même si elle est difficile à atteindre, elle ne se refuse pas.Vous l’aviez peut être perdue, égarée ou oubliée, j’aimerais que vous l’acceptiez afin qu’elle vous ouvre les portes de la joie.
Alors s’il frappe à votre porte sachez le discerner et le garder dans votre cœur, si vous le possédez déjà ne le laisser pas s’échapper.
Le massage…..un bienfait à portée de main
Origine :
Le massage nous vient de plusieurs origines, occidentales et asiatiques. Des textes chinois nous prouvent que le massage thérapeutique était pratiqué en Chine en 3000 avant J.C. Des écrits hindous datant de 1800 avant J.C. révèlent que le massage était utilisé pour faire perdre du poids, favoriser le sommeil et la relaxation ainsi que pour luter contre la fatigue. En Egypte le massage était un complément indispensable du bain.
Mais par des découvertes archéologiques, on sait que les peuples préhistoriques se frictionnaient le corps avec des onguents et des herbes, sans doute pour accroître leur bien être et se protéger contre les blessures et les infections.
Au fil des siècles :
Les romains adoptèrent les conceptions grecques sur le massage et, les poussant plus loin, ils édifièrent des bains publics, ouvert aux pauvres comme aux riches. On s’y détendait en prenant un bain chaud suivi d’une bonne friction avec des huiles parfumées.
Le médecin grec Herodikos (Ve siècle avant J.C.) affirmait avoir réussi à prolonger des vies en associant massage, plantes médicinales et huiles essentielles.
Des ouvrages de la renaissance décrivent l’emploi thérapeutique du massage, dont le prestige était peut-être dû au succès dont il jouissait auprès des personnages royaux. En France, un doyen de la faculté de médecine de Paris prônait la thérapie par le mouvement dans l’orthopédie, où il enseignait aux parents des techniques de massage pour corriger les difformités des enfants.
Au Royaume-Uni, John Grosvenor (1742-1823) chirurgien et professeur de médecine démontra l’efficacité du massage dans les raideurs articulaires, la goutte et les rhumatismes.
Du XIXe siècle à nos jours, le nombre de femmes capables de dispenser des massages avait considérablement augmenté. Au début, elles étaient formées par des médecins, mais pour répondre à la demande, des écoles s’ouvrirent et la dérive commerciale conduisit à une baisse du niveau de l’enseignement.
En 1880 la reine Victoria qui relança le massage. On utilisa le massage associé aux exercices physiques pour soulager ces douleurs rhumatismales. Cette pratique fut un succès et le massage devint respectable.
En Amérique du Nord, George Taylor (1821-1896) et son frère Charles (1826-1899), s’étaient rendus en Europe pour étudier les techniques de massage et ils sont les plus connus des initiateurs du massage.
Les bienfaits :
Permet d’éliminer et de réduire efficacement les tensions musculaires et favoriser une meilleur circulation, mais permet aussi de se régénérer et d’évacuer le stress de façon efficace et durable.
- Ils sont vivifiants, fortifiants, tonifiants, relaxants, stimulants, les qualificatifs ne manquent pour louer les bienfaits des massages.
- Il procure un sommeil plus réparateur et plus profond.
- Il contribue au soulagement des coliques, de la constipation, des gaz.
- Il permet de diminuer les douleurs occasionnées par les poussées de croissance (en détendant les tendons et les muscles), il apporte un soulagement aux tensions diverses.
- Il développe la conscience du schéma corporel.
- La pratique régulière du massage a une grande influence au niveau du lien d’attachement: il augmente la sécrétion de l’ocytocine (hormone qui permet l’attachement chez la mère et chez le bébé) et stimule la sécrétion de la prolactine (hormone qui favorise la montée laiteuse).
- Il consolide la relation parent enfant. Les caresses et stimulations corporelles nourrissent chez le nouveau-né le sentiment d’être accueilli, accepté, aimé. Elles lui permettent dès le début de son existence de se construire une image positive de lui-même. La peau a une mémoire. C’est donc un beau cadeau à faire à son enfant. Plus tard, devenu adulte, il retrouvera et recréera ces interactions dans sa vie sociale, affective et amoureuse ; il sera plus à même de donner et de recevoir tendresse, sécurité, échange et plénitude.
Se masser soi-même :
Se masser tous les jours, c’est entretenir son corps, s’offrir une remise en forme régulière. Cela constitue également une excellente prévention contre bon nombre de maux. L’automassage permet ainsi de soulager maux de tête et migraine, les douleurs cervicales, les troubles digestifs, les tensions articulaires… Mais attention, le massage est souvent excellent mais pas toujours suffisant, il ne faut donc pas l’isoler d’un traitement global.
Conclusion :
Le massage est une véritable expérience de bonheur, de partage, d’intimité et de complicité…,
Que du bonheur alors pourquoi s’en priver !
N’oublions pas que le massage entre partenaires est aussi un langage d’amour et de tendresse, celui-ci créait une intimité et un abandon entre les mains de son ou sa partenaire.
Dans un monde comme le notre rempli de stress et de contrariétés, le massage pourrait se faire une place de choix et devenir presque indispensable à notre équilibre…
Le massage ou l’automassage n’est pas rentré encore dans les moeurs même s’il se démocratise. En effet, de nombreuses personnes le considère comme inutile où superflu, souvent parce qu’elles n’ont jamais tenté l’expérience ou parce qu’elles ont eu affaire à des professionnels en manque de compétences, ou tout simplement elle trouve cela onéreux.
Cependant, lorsque ceux-ci sont réalisés avec talent, sans malentendus, dans une ambiance de respect de l’autre et de relaxation totale, le résultat peut être extraordinaire et extrêmement bénéfique.
Dans tous les cas, le massage s’avèrera très efficace pour évacuer le stress. Car c’est un moment de calme que l’on peut s’accorder, un moment de retrouvailles avec soit-même.
Tour du monde de l’amour… humoristique !
AMERIQUE DU NORD
USA
Un quart des Américains indique avoir déjà eu des rapports sexuels avec une personne rencontrée sur Internet, contre seulement 22 % des Français, des Espagnols et des Allemands, et 14 % des Britanniques ont succombé à l’appel des charmes du web…
Aux USA, 13 états interdisent encore clairement l’acte sodomique, même (comme en Géorgie) entre mari et femme. On taxe souvent les USA de puritanisme, mais l’Angleterre, la Chine, le Nicaragua, et certaines îles des Caraïbes sont tout aussi punitives contre les contre-allées du plaisir ! La sodomie n’est acceptée en Israël que depuis 1988.
ALASKA
Frissons garantis car les esquimaudes sont coquines et friponnes ! Traditionnellement, elles glissaient le sexe de leurs amants dans des fourreaux en peau de phoque gelés pour leur donner des idées… et des picotements bien placés. Vous ne trouvez pas de peau de phoque ? Pas grave avec un gant de toilette et quelques glaçons feront le même effet … Frissons garantis, quant au résultat…!
Des voyagistes américains organisent des séjours permettant aux couples de se trouver dans les conditions idéales, médicales et romantiques, pour procréer dans un igloo. Les couples soucieux d’avoir un bébé sont devenus la cible privilégiée de certains hôtels et Tour opérateurs avec des formules incluant sexologue à disposition, cadre ultra romantique et gastronomie aphrodisiaque….tout un programme.
AFRIQUE
L’AFRIQUE
Les lèvres de la discorde …..Pas de baiser, comme nous pouvons le pratiquer en Europe.
S’il boit dans notre verre, il va connaître nos pensées… L’adage veut que le baiser soit la mise en relations de deux esprits, même chez nous en Europe. Mais en Afrique, certaines tribus l’abhorrent, de peur d’y laisser leur âme ! Chez les Pygmées et chez les Tongas du Mozambique, le baiser est jugé non hygiénique. Quant aux Manjas d’Afrique Equatoriale, ils adoptent une solution très radicale, l’abstinence. Les femmes portent un disque de bois qui distend leurs lèvres supérieures. Le baiser est alors remplacé par une bonne poignée de mains. Dans certaines tribus d’Afrique, ce dont les femmes sont les plus fières, ce sont leurs fesses, la danse de l’amour. Charnues et charmeuses, elles se livrent à une séance d’hypnose postérieure post-coïtale : après de longues caresses, Madame fait une petite chorégraphie endiablée exécutée avec les fesses :Vive le sport !
Afin de ne pas se retrouver fort dépourvu quand le temps des bisous sera venu, les amants se préparent à une nuit d’amour comme à une compétition sportive ! Ils consomment des tisanes de plantes revigorantes (bois bandé, gingembre, …) et aphrodisiaques. Et avant de démarrer, hop, un petit strip-tease s’impose pour mettre en avant les fières fesses des africaines !
EGYPTE
L’amour était un sucre d’orge ! et point découragées par le sable ni les grillons affamés, les déesses du Nil savaient séduire leurs hommes gourmands. Pendant l’Antiquité, les Egyptiennes aux yeux de chatte s’enduisaient le corps d’un onguent au miel. Pas folle les guêpes, elles avaient compris comment tenir un homme : les douceurs du sexe et les douceurs de la nourriture !
A propos de douceur, la légende veut que la fellation trouve ici son origine : en la déesse Isis, elle en aurait usé pour réanimer son frère et époux Osiris.
L’ARABIE SAOUDITE
La Saint Valentin est considérée comme une fête chrétienne, et donc païenne pour les musulmans, est interdite en Arabie Saoudite. La police traque même tout élément de décor ou de vêtement rouge, la couleur des amoureux. Fini les disputes parce que Mr a oublié de vous acheter des roses (rouges), c’est interdit ! « Je suis prête chéri » la tradition du moment « pré-amoureux » dans le Maghreb répond à une exigence de beauté très importante pour les femmes : épilation au sucre, peau gommée qui élimine les cellules mortes, huiles odorantes et bijoux, voilages ou tatouages au henné. La tradition veut que toute femme soit Shéhérazade ! Ces soins, comme dans un harem, se réalisent depuis toujours en bonne compagnie féminine, au hammam ou à la maison…
EUROPE
ANGLETERRE
Petits carrés craquants…vous avez deviné ! Les femmes britanniques sont totalement accros… au chocolat ! Si elles avaient à choisir entre une tablette et des galipettes sous la couette, 52 % d’entre elles choisiraient la tablette ! C’est peut-être aussi pour cela que les Anglaises se hissent en n° 2 du taux d’obésité féminine en Europe ? Mais au fond, sexe et chocolat, pourquoi choisir ?
Que répondrions-nous si on nous demandait quelle partie du corps vous préférez chez les hommes ? Euh, les omoplates bien sûr ! Comme 22 % des anglaises, reléguant les fesses au second rang.
Les cours d’éducation sexuelle à l’école sont courants. Les londoniens, eux, ont une vraie « sex academy » ! Baptisée « Amora », cette école du sexe propose d’améliorer les capacités et les connaissances amoureuses de ses visiteurs. On y suit des cours pour apprendre à embrasser et à parler sexy, ou cuisiner de façon sensuelle. Des ateliers permettent aussi de composer les portraits robots du partenaire idéal en assemblant des parties détachées du corps humain ou bien en répartissant avec des moulages en silicone les parties érogènes de notre corps ! Un diplôme très en vogue…
ALLEMAGNE
Impôt sur le revenu, 820 000 euros, qu’est-ce que cela représente ? Le record du « Qui veut gagner des DeutschMarks ? » ou le loyer d’un appartement avec vue sur le Bundestag ? Non, c’est juste le montant de « la taxe sur le plaisir » appliquée aux prostituées de Cologne en 2006. Destinée au départ aux casinos, elle a ensuite été étendue aux maisons de passe, salles de massage particulières et clubs de strip-tease…
DANEMARK
Les danois, gros consommateurs du facteur X ? En tout cas, très sincères : ce sont eux qui avouent regarder le plus souvent des films pornographiques, soit 61 %. Mais si l’on en juge par la facilité contemporaine d’accès aux images non-pieuses avec Internet, on peut imaginer que d’autres européens battent tous les records… de mensonge !
ITALIE
Les italiens, rois de l’orgasme, ils exagèrent en général : normal donc qu’ils exagèrent aussi quand il s’agit de déclarer leurs orgasmes à « la police du plaisir ». 75 % déclarent avoir un orgasme à chaque relation. Un record bien vite refroidi par les mammas, qui ne sont que 17 % à avouer se pencher comme une tour de Pise en criant comme Laura Pausini !
L’ASIE
THAILANDE
Il parait que mâcher de la Pueraria Mirifican, un chewing-gum révolutionnaire, fait gonfler la poitrine ! Connue aussi sous le nom de Kwao Krua, cette plante pousse en Thaïlande et en Birmanie. Elle contient des substances phyto-œstrogènes, responsables d’une augmentation de l’activité hormonale et qui permettent en outre une fortification des muscles.
JAPON
Selon les dernières études de mœurs, il parait que les Japonaises et les africaines raffoleraient du bondage, alors que seulement une Française sur cinq s’est déjà faite attachée ! Les espagnoles qui ont pourtant vu »Attaches-moi », le film de Pedro Almodovar n’auraient pas été convaincues… Le jardin des plaisirs, outre les estampes estampillées porno dans l’art asiatique, il y a l’Ikebana. Un art floral traditionnel japonais qui consiste à reproduire un sentiment ou une émotion dans une composition florale. Selon que son bonzaï penche ou perde ses feuilles, que les bourgeons soient en fleurs ou taillés, on peut lire ses états d’âme dans son bouquet. Bon, déjà qu’ils ont du mal à nous en offrir, on ne va pas en plus leur demander de se plier à la tradition. Quoique…
Mon petit lotus…Et deux et un, et un et deux, on muscle son vagin ! Et trois et quatre, on se plie en quatre ! Voici un nouvel exercice de ce yoga japonais : les geishas, puis les adeptes du Taos Sexuel chinois, ont développé leur « Lotus rouge » pour procurer un orgasme plus intense à leur partenaire. En enserrant le pénis de leur samouraï avec leur super-vagin, elles décuplent leur plaisir réciproque…En un mot un seul : Aligato !
INDE
En Inde, les hommes au turban et aux moustaches taillées cachent parfois davantage des coquetteries insoupçonnées… Les apadravya : des piercings réservés à la partie la plus intime…(oui vous avez bien lu) Posés par des hommes, ils sont placés au bout du pénis, transperçant verticalement le gland, et tel un « charmbracelet », ils y accrochent des babioles. Petite main et perles, l’objectif est d’augmenter le plaisir des mahâ-râna…
Les bijoux ne sont pas que les meilleurs amis de la femme ! Ce sont les bijoux de Monsieur !
En Inde, plus d’un milliard de préservatifs sont fabriqués par an. Mais au pays de Gandhi, le préservatif n’est pas seulement utilisé dans un but contraceptif et sanitaire. Il est devenu un produit très prisé par les usines qui fabriquent les saris, les vêtements traditionnels indiens. Les tisserands placent les préservatifs dans leurs bobines de fil pour accélérer leurs mouvements car le lubrifiant graisse le fil qui se déplace plus vite sur les machines à coudre. Les préservatifs, une fois retournés, sont réutilisés… Tout ce recycle !
Des petites mains enfilent les capotes sur leurs doigts et se servent du lubrifiant pour polir le sari et astiquer leurs fils d’or et d’argent. Une société indienne va prochainement mettre sur le marché des préservatifs au goût d’une chique locale, faite d’un mélange de tabac et de noix de bétel (une sorte de poivrier).
En effet, les prostituées préfèrent le parfum du paan (chewing-gum indien) à celui de la banane ou du chocolat. Les préservatifs au « tabac » seront vendus par l’entreprise publique Hindustan Latex d’ici à la fin de l’année 2007.
CHINE
Acupuncture sur le point G ! D’après la médecine chinoise, rien de tel que l’acupuncture naturelle… « L’aiguille virile apporte le plaisir, mais aussi la santé » ! Les livres de médecine préconisent des exercices précis : la chinoise se couche sur le dos, un coussin sous les fesses. Elle allonge les jambes et l’homme s’agenouille entre ses cuisses et lui porte 27 coups de tige de jade. A pratiquer trois fois par jour pendant vingt jours ! Pour réguler les humeurs, « la femme se penche en avant et se couche de face, les fesses levées. L’homme monte sur son dos, glisse sa tige de jade par-derrière dans sa caverne et lui porte 72 coups ! ». Tout est dans la métaphore et dans la poésie… mais aussi très sportif !
OCEANIE
PAPOUASIE
L’amour au grand air ! Comment faire quand on a des voisins trop proches ? Faut-il attendre qu’ils partent pour faire tirelipampam ? Non, comme toujours, ce les plus gênés qui s’en vont… Les Hewa, une tribu Papou très câline va s’ébrouer en pleine nature quand l’heure des papouilles arrive !
Loin des leurs, ils s’éloignent un peu mais pas trop, tant ils ont peur d’arriver sur une terre où les mauvais esprits de la foret pourraient les zieuter…
PAPOUASIE NOUVELLE GUINEE
L’étui pénien, aussi appelé penilex, a la même forme qu’un préservatif mais avec un embout pour que l’on puisse y adapter un sac de sonde pour récupérer les urines. Il entoure le pénis et peut se prolonger sur près d’un mètre. Il fait office de costume traditionnel en Papouasie-Nouvelle-Guinée et dans une partie de l’Océanie.
ILE DE CHUUK
L’épilation du maillot, la dernière technique de drague à la mode ? Sur l’île de Chuuk, dans l’archipel des Carolines, au nord de l’Océanie, il est très courant que les hommes pénètrent à la nuit tombée à l’intérieur des maisons des femmes endormies pour leur soulever les vêtements. Si le minou est mignon, c’est le mariage assuré ! Les coquines carolines se prêtent de bonne grâce à ce jeu de séduction en ne dormant pas, tel un matou, que d’un seul oeil pour observer leur futur mari….
L’amour au moyen âge
L’amour :
Au moyen âge, l’union des coeurs est le principe de toutes les vertus. L’amour est obligatoirement adultère.
L’amour exige le secret, pas seulement pour son caractère adultérin, mais aussi parce qu’il est une chose trop grave pour être divulgué.
L’amour devient un art, une mystique, une exaltation de l’âme et une délicieuse souffrance.
Le rôle de l’église :
A cette époque l’église au grain et la pensée chrétienne exclut le plaisir sexuel et promeut seulement les unions légitimes pour la procréation afin d’agrandir la « famille de Dieu ». A cette période de l’histoire les « mariages heureux » ont par ailleurs laissé moins de traces que les « désamours ». Pour l’église l’amour était dangereux si elle avait les attraits d’une passion passionnelle et charnelle.
Le clergé fixait la norme en reléguant les sentiments après le mariage et excluait le plaisir sexuel.
Pourtant, les sentiments et le plaisir existaient comme le prouvent les lettres de rémission ou la correspondance célèbre le maître de philosophie Abélard et son élève Héloïse.
Pour l’église, l’amour est une passion inquiétante qui faisait perdre la tête.
Les rois mérovingiens :
Ces rois, malgré l’opposition de l’église, ont pu participer une polygamie dans le souci d’établir des alliances et pas seulement pour satisfaire leur libido. Paradoxalement, malgré d’évidentes positions misogynes, l’église a pu protéger les femmes en s’opposant de plus en plus fermement aux répudiations, aux violences ou à la polygamie. La publication des bans de mariage et la dénonciation des mariages clandestins ont ainsi permis de lutter contre la répudiation.
Les interdictions fixées par la liturgie :
Interdictions d’avoir des rapports sexuels pendant les cycles de la femme et lors du calendrier religieux, soit le jeudi, vendredi, dimanche, carêmes, fêtes des saints, etc ….Finalement peu de jours. Il y avait un temps pour tout celui de la sexualité et de la procréation comme il y avait un temps pour les labours ou les semailles !
Le nom de la « Rose » :
L’un des plus grands succès littéraires du Moyen âge un traité de « l’art d’aimer » dû à Guillaume de Lorris et à Jean de Meun montrent sans pudeur que « la cueillette de la rose » est le seul but qui compte dans les relations entre les hommes et les femmes.
Un film « Au nom de la Rose » de Jean-jacques Annaud nous montre si bien ces interdits.
La famille :
Si l’amour fondé sur les sentiments est possible, les mariages nécessitent toujours le consentement familial, surtout dans les milieux aisés, où les stratégies matrimoniales recherchent avant tout un renforcement de la puissance, du prestige, une meilleure sécurité ou une augmentation de la richesse. Le bonheur de son prochain n’est pas de mise à cette époque.
Les femmes :
Les femmes du petit peuple et les bourgeoises jouissent d’une assez grande liberté. Majeure à douze ans elles sont libres de gérer leurs biens, de se marier, de voter même. Bien des métiers leur sont accessibles.
Pour les femmes nobles il en va tout autrement. Dans l’univers violent, agressif, essentiellement viril des châteaux, elle ne compte guère. Son sort est lié à la terre, seule garantie du pouvoir. Ainsi est-elle une monnaie d’échange pour les seigneurs qui désirent accroître leurs biens et assurer une descendance. Les fillettes sont promises parfois dès leur naissance à des hommes souvent bien plus âgées qu’elles. Leur rôle est pourtant non négligeable pusqu’en l’absence de leur époux qui, lorsqu’il n’est pas en guerre, s’adonne à la chasse, c’est à elles de gérer et d’administrer leurs biens.
Le mariage :
Le consentement des deux conjoints est nécessaire. La cérémonie est sacralisée, bénie par un prêtre, mais quelque fois par le roi lui même suivant les circonstances du mariage. Pour protéger la femme contre son mari, il est ordonné à celui-ci de lui constituer un douaire, un capital, dont le montant est fixé au tiers ou à la moitié de ses biens selon les régions. A la mort de sa femme, le douaire revient aux enfant de son époux, même si elle est remariée. La répudiation est interdite et l’adultère est sérieusement condamné. La mise à mort est encourue si ce n’est la réclusion dans un couvent.
Le divorce :
Celui-ci n’est autorisé qu’en trois cas après une enquête de moralité effectuée par un prêtre (le clergé à tous les pouvoirs en la matière) et la consultation de témoins :
- La stérilité ou l’impuissance,
- La consanguinité étendue au 7° degré de parenté,
- L’ordination ultérieure de l’un des conjoints, dans la majorité des cas de nombreuses femmes furent obligées d’entrer au couvent à une certaine époque, contre leur volonté. Charlemagne, pour former des alliances, n’hésita pas à utiliser ce procédé pour répudier ces concubines.
Quelques règles de l’amour « courtois » à cette époque :
- A la mort (e) un délai de deux ans est nécessaire avant de s’adonner à un nouvel amour,
- Personne ne doit être privé de l’être aimé sans la meilleure des raisons,
- L’amant doit aimer une femme de condition supérieure à la sienne,
- L’amour doit rester secret s’il veut durer,
- Le coeur d’un amant tressaille à la vue de son amour,
- La conquête amoureuse se doit d’être lente et ardue,
- Le parfait amant pâlit en présence de la dame de son coeur,
- Seule la vertu digne rend digne d’être aimé,
- L’amoureux vît dans la crainte,
- La jalousie fait croître l’amour,
- Qui n’est pas jaloux ne peut aimer,
- Le tourment de l’amour chasse l’appétit et le sommeil,
- Amour ne rime pas avec luxure,
- Si rien n’empêche une femme d’être aimé par deux hommes, un homme a également le droit d’être aimé par deux femmes,
Conclusion : en lisant ces quelques règles de courtoisies de cette époque, à bien y réfléchir, il en reste encore quelques unes au XXI ème siècle.